Parce que c’est le printemps et que nous sommes en confinement, mais que les idées continuent de germer pour se « culturer », le blog s’associe avec Page des Libraires, chaque jour du mois d’avril, pour mettre au devant de la scène un livre et une librairie.
Au hasard, chaque jour, sur les étagères de ma bibliothèque, je prendrai un numéro du magazine de ces dernières années (j’en ai toute une collection !) dans lequel je choisirai un livre que j’ai aimé.
Après
le numéro 181 avec "Charlotte" de David FOENKINOS
le numéro 190 et « Chanson douce » de Leïla SLIMANI
le numéro 194 et « Nous aurons été vivants » de Laurence TARDIEU
le numéro 184 avec « Le coeur à l’aiguille » de Claire GONDOR
le numéro 197 avec "La Symphonie du Nouveau Monde" de Lenka HORNAKOVA CIVADE
le numéro 188 et « Bénédict » de Cécile LADJALI,
le numéro 195 et « Juste après la vague » de Sandrine COLLETTE,
le numéro 182 et "Collaboration horizontale" de NAVIE et Carole MAUREL,
le numéro 191 et "Chien-loup" de Serge JONCOUR,
le numéro 169 avec "Bérénice 34-44" d'Isabelle STIBBE,
le numéro 166 et "Profanes" de Jeanne BENAMEUR,
le numéro 196 et "Le cahier de recettes" de Jacky DURAND
le numéro 199 et "Par les routes" de Sylvain PRUDHOMME,
le numéro 162 et « Mauvais genre » de Chloé CRUCHAUDET,
place au numéro 173 et « Quand le diable sortit de la salle de bains » de Sophie DIVRY, publié aux éditions Noir sur blanc dans la collection Notabilia, présenté par Margaux HENIN de la Librairie Passion Culture d'Orléans, l'occasion d'un petit clin d'oeil aux Librairies Sauramps en Cévennes d'Alès, Rêves de mots de Lyon, Rive gauche de Lyon et l'Oeil au vert de Paris.
Je me souviens d'un roman truculent, d'avoir ri jaune aussi. J'ai bien peur que le propos satirique de Sophie DIVRY n'ait pas pris une ride !
Pour aller plus loin, je vous invite à retrouver l'écrivaine et Antigone, leur entretien date du 6 avril dernier. J'en profite pour saluer toute l'équipe du Club des lecteurs yonnais !
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