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2015-03-30T06:59:23+02:00

Parler des pressions par la Compagnie Piment Langue d'oiseau

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En février 2014, j'ai découvert cette compagnie locale avec "Nous, les filles", spectacle jubilatoire.

 

Depuis, je n'avais qu'une envie, la retrouver sur scène. 


L'opportunité m'en a été offerte par le 3 Mâts avec "Parlons des pressions", spectacle à mourir de rire !

 

Alors que le sujet est grave : la depression, le scénario en fait un sujet facile à aborder, voire à saborder pour mieux s'en libérer !!!


Tout y passe, les éléments extérieurs (la société, le monde du travail, l'environnement...) comme ceux de l'intérieur sont revisités pour notre plus grand plaisir.


Le talent des 2 acteurs, Jérôme Rousselet et Marie Gaultier, jouant respectivement les rôles d'un sociologue universitaire, maniaque et complètement coincé, et d'une psychothérapeute passée par la case déprimée, est exceptionnel. 


Les spectateurs sont pris à partie par la psychothérapeute particulièrement desinhibée, donnant tout de suite le ton à la soirée. Après, plus rien ne les arrête, ils pouffent de rire, voire rient à gorge déployée, et rapidement, c'est toute une salle qui interréagit avec les comédiens.


A la sortie du spectacle, je me sentais totalement libérée de mes "pressions" et d'une incroyable légèreté.


Spectacle à faire rembourser par la Sécurité Sociale !

 

 

 

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2015-03-29T12:15:46+02:00

Collection T

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Collection T

Je viens d'ouvrir l'oeil, no stress, on est dimanche !


Je prends mon temps, comme si de rien n'était et quand j'allume l'ordinateur, je découvre que j'avais oublié de changer l'heure sur mon réveil...


Je décide d'aller me chercher un petit croissant pour bien engager cette transition entre le sommeil et la réalité...


Mais, surprise, quand j'arrive devant la vitrine de la boulangerie-pâtisserie près de chez moi, le rideau est baissé. Normal, il est en réalité plus de 13 heures !!!

Collection T

De retour, je me fais un thé et là, un flash, je n'ai pas encore rédigé le post de la rubrique "T Time" du mois de mars.


Aïe aïe aïe, nous sommes dimanche 29, il est urgent d'intervenir...
Heureusement, j'avais fait mon marché autour de moi et j'avais quelque chose à vous présenter !


Je vais vous faire découvrir, si ce n'est déjà fait, une boutique qui a un très beau point commun avec "T Livres ? T Arts ?". Devinez quoi... elle a choisi d'utiliser cette lettre "T" pour représenter cette boisson chaude que nous aimons tous-tes avec un bon livre !!! Collection T, il fallait y penser...


Cette boutique se trouve à Paris, 53/55 rue des Martyrs.


Elle est tenue par une jeune femme, très sympathique et de très bon conseil. C'est une experte, ça se sent.


Elle oeuvre au milieu d'un petit "Paradis blanc" (quelques notes de la chanson de Michel Berger me reviennent en tête...). Pas mal pour une boutique de thé, le blanc, c'est le symbole de la pureté, non ? Alors quand il s'agit d'un thé, c'est plutôt approprié.

Après avoir plongé mon nez dans quelques pots, j'ai dû choisir. Guidée par mes parfums préférés, j'ai opté pour le "Mélange Atoll" composé de bergamote, vanille, orange, fleurs de jasmin" et pour "Chine rose Congou", du nom de la rose qui le constitue.


Et vous, que choisirez-vous ? Là est en réalité tout le problème car la collection est vaste. Mais lancez-vous, vous ne serez pas déçu-e-s...


Un petit conseil toutefois, vous pourrez laisser infuser votre thé quelques minutes supplémentaires au temps indiqué sur le sachet, le goût en sera plus fort sans devenir corcé.


Le temps justement, aujourd'hui, je risque bien de courir après toute la journée !!! A moins de suivre les conseils de Michel Berger justement : "[...] je m'en irai dormir dans le paradis blanc où les nuits sont si longues qu'on en oublie le temps, tout seul avec le vent, comme dans mes rêves d'enfants [...] ".


C'est bon, je retourne sous la couette... d'autant que j'ai un nouveau livre à commencer !

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2015-03-28T13:55:33+01:00

Blanc de la Compagnie Oeil du Do au THV

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Ce spectacle, j'aurais dû le voir l'année dernière à la Salle Jean Carmet de Mûrs Erigné mais une comédienne s'était blessée dans la journée, résultat : représentation annulée.


Vous imaginez bien qu'il était donc très attendu et que je n'ai pas hésiter à l'intégrer dans mon abonnement au THV quand j'ai vu qu'il y était planifié !


Je l'ai découvert mardi soir, un beau spectacle qui me revient encore par bribes quelques jours plus tard, c'est bon signe !


L'histoire en quelques mots : 2 soeurs se retrouvent réunies pour accompagner les derniers jours de leur mère. Les 2 vivent un huis clos, coupées chacune de leur vie quotidienne, l'une a lâché conjoint et enfant, l'autre son travail. Alors, quand 2 soeurs dont les trajectoires sont si différentes se retrouvent dans un espace confiné, leur maison d'enfance, la promiscuité et l'état de tension lié au contexte tragique font resurgir des souvenirs, pour le meilleur et pour le pire...

 

J'ai été très sensible à cette relation entre 2 soeurs, peut-être en écho avec ma situation personnelle...


J'ai trouvé aussi la mise en scène ingénieuse avec ce drapé qui, à la verticale, donne l'illusion d'une alcôve pour représenter la chambre dans laquelle la mère vit ses derniers instants, et qui, à l'horizontal, s'étale au sol avec des renflements, des bourrelets, des creux, bref des irrégularités pour montrer à quel point les vies sont mouvementées.


Mais plus que tout, c'est la notion du temps qui m'a troublée, le temps dans toutes ses dimensions et sa relativité :


- il y a celui de la mère dont les heures sont comptées et qui pourtant, pour les filles, peut paraître une éternité,


- il y a cette incompréhension devant un temps non maîtrisé alors que les vies sont chronométrées, que les trains sont programmés à la minute près...


- il y a aussi celui de la vie des êtres, le temps de l'enfance qui s'est envolé, le temps d'une vie adulte avec des rythmes qui diffèrent selon les environnements et puis le temps d'une fin de vie.


C'est un spectacle qui résonne encore en moi, je pense que je peux vous le conseiller ! 

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2015-03-25T08:25:00+01:00

SETH, indoor, insolite !

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Seth, je l'ai découvert au gré d'une déambulation parisienne dans le 13ème arrondissement, dans le secteur de la Butte aux Cailles.

J'ai immédiatement été séduite par le charme de ses fresques murales au point de le rechercher au coin d'une rue comme rue de Julienne...

Seth est un jeune graffeur, français (cocorico !), dont les oeuvres sont désormais communément classées dans la catégorie du street-art mais une exposition insolite met actuellement en valeur ses oeuvres, indoor !


Depuis le 20 mars dernier, en effet, la Galerie Itinerrance lui consacre une magnifique exposition intitulée "Walking on a dream", tout un programme, non ?

SETH, indoor, insolite !

J'y ai retrouvé la poésie singulière de ses personnages enfantins, la douceur de ses couleurs, le romantisme de ses atmosphères...


MAIS je me suis aussi laissée surprendre par une utilisation de matériaux variés (tantôt de la brique, tantôt de la toile).


Et si Seth était en réalité un artiste inclassable ?


Je voudrais vous lancer un appel aujourd'hui, à vous chers internautes, oui... parce que j'ai été profondément déçue de voir qu'il y avait aussi peu de public en plein samedi après-midi le 21 mars dernier !


Alors que les écrivains sur le Salon du Livre de Paris attendent désormais le lecteur pour une éventuelle dédicace, secouons-nous pour soutenir les artistes au risque de perdre toute cette richesse culturelle...


Précipitez-vous, 7 bis rue René Goscinny.


Dans la rue, vous peinez à trouver la Galerie, laissez-vous guider par ces bornes customisées qui vous font de l'oeil !

Vous n'avez plus aucune excuse maintenant de ne pas visiter cette très belle exposition !


Un dernier cliché pour présenter cette oeuvre qui prend tout son sens aujourd'hui dans un contexte international chahuté. Pourrions-nous rêver à la mise en lien de chacun avec les autres, à l'image de ces 2 enfants... Il n'en tient qu'à un fil !

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2015-03-18T21:51:02+01:00

Trois jours à Oran d'Anne PLANTAGENET

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Trois jours à Oran d'Anne PLANTAGENET

En route pour un nouveau voyage !


Cette fois, j'ai accompagné Anne PLANTAGENET et son père sur la route de leurs souvenirs qui m'a menée jusqu'en Algérie, leur terre dont ils ont été dépossédés !


Anne PLANTAGENET nous livre le récit de sa vie, de ses parents, enseignants à Troyes, de sa grand mère paternelle née à Misserghin, près d'Oran. Alors que son couple vit un moment difficile, que son père atteint l'âge de la retraite, elle prend la décision de partir à la conquête de ses origines. Seul son père accepte l'invitation.


Commence alors un périple aux multiples émotions.


C'est un magnifique récit sur les souvenirs, les images qui vont inconsciemment se ranger dans la mémoire, ou pas, qui vont effacer les précédentes, ou pas...


Il y a ces petites choses qui tout à coup, ont le pouvoir de faire ressurgir le passé avec des émotions fortes. Ah, la cage à oiseaux !


Il y a l'Eglise aussi, ce lieu incontournable, témoin de tous les événements familiaux, pour le meilleur et pour le pire !


L'église blanche et majestueuse de la photo, s'élevant dans la campagne sèche au milieu des arbres et de rares toits aux vieilles tuiles. Où ont été baptisés les dix sept membres de ma famille, dont mon père, qui sont nés à la ferme. Où les frères de ma grand mère ont été enfants de choeur, sa nièce organiste, et où ont été célébrées les communions, la plupart des noces et aussi les messes d'enterrement de tous les Montoya morts à Misserghin avant 1962. P. 136

Il y a les hommes enfin. J'ai adoré ce passage où les occupants de la ferme toisent ces inconnus, se jaugent, et puis... se détendent, se confient... jusqu'à s'adopter. Un moment très émouvant. Le jeu des personnages, l'émotion du père, le ressenti de la narratrice sont autant de petites perles !

 


Mon père est totalement désorienté. Il regarde l'édifice d'un blanc sale, dont les vitraux ont été brisés et murés, comme on s'en aperçoit en en faisant le tour avec Amin. Il contemple toutes des maisons nouvelles surgies dans le champ où il jouait au foot enfant, ces poteaux électriques inexistants à l'époque, ces antennes paraboliques. Il n'a plus aucune référence. Seul un grand arbre, peut être, à droite de l'église n'a pas changé. P. 140

A partir d'une histoire singulière, ce récit de vie a le mérite de retracer une page de notre Histoire, celle des pieds noirs, que je connaissais peu et dont je mesure toute la souffrance aujourd'hui. Mais ce récit donne à voir également les motivations d'un tel retour sur la terre natale. Pourquoi réaliser cet itinéraire ? Anne PLANTAGENET essaie de répondre à cette question, à sa façon...


Très beau récit.

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2015-03-17T22:07:51+01:00

Trompe la mort de Jean Michel GUENASSIA

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C'est assez drôle comme parfois les lectures se suivent et se ressemblent, liées entre elles par un mystère incroyable.


Alors que le dernier roman que j'ai lu commençait avec la mort de Kweku, en direct, avec une narration à la 1ère personne du singulier, le nouveau roman que j'ouvre et que j'ai choisi par hasard (seul le nom de l'auteur a retenu mon attention, je ne connaissais rien de l'histoire mais je me souvenais d'un très bon moment passé à lire "Le Club des Incorrigibles Optimistes !) commence par ces premières lignes :


"Je suis mort le jeudi février 2004 à 7h35 du matin. Je ne sais pas si j'ai été tué alors que l'hélicoptère était en vol ou lorsqu'il s'est écrasé au sol. Personne n'a été capable de me le préciser. En vérité, je m'en fous. Le résultat est le même. J'ignore également si les souvenirs qui m'assaillent sont la preuve qu'il existe quelque chose après la mort et que je suis désormais un esprit qui volette dans l'immensité, ou si je vois défiler les événements les plus importants de ma vie avant de disparaître pour toujours...".


J'aurais pu renoncer à sa lecture, histoire de changer de genre, mais j'avais une irrésistible envie de lire le dernier roman de Jean Michel GUENASSIA et j'ai bien fait !


D'abord parce que, même si des sujets similaires y sont abordés : l'exil, les traditions, les souvenirs, la mémoire, l'attachement à sa terre natale... le contexte géographique est totalement différent : j'ai voyagé entre l'Inde, l'Irak et l'Angleterre.


Ensuite, parce que les personnages vivent une histoire particulière : une relation mère fils y est largement abordée mais aussi la fin de vie de pères en conflit avec leur progéniture et ce besoin irrépressible de partir serein en ayant tendu une dernière fois la main.


Enfin, parce que l'écriture est singulière. A chaque écrivain son style ! Pour Jean Michel GUENASSIA, elle est simple, fluide, elle décrit parfaitement les sentiments, tout en pudeur. Et puis, n'oublions pas qu'il s'agit d'un homme et que le regard peut différer de celui porté par une femme telle que Taiye SELASI.


Cerise sur le gâteau pour nous qui aimons lire !

Plus vite tu sauras lire, écrire, compter, plus vite tu seras libre. P. 286

Bref, j'ai passé un très bon moment de lecture.

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2015-03-12T07:54:00+01:00

Le ravissement des innocents de Taiye SELASI

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Traduit de l'anglais par Sylvie SCHNEITER


1er roman


Tout commence ainsi :


"Kweku meurt pieds nus un dimanche matin avant le lever du jour, ses pantoufles tels des chiens devant la porte de la chambre. Alors qu'il se tient sur le seuil entre la véranda fermée et le jardin, il envisage de retourner les chercher. Non. Ama, sa seconde épouse, dort dans cette chambre, les lèvres entrouvertes, le front un peu plissé, sa joue chaude en quête d'un coin frais sur l'oreiller, il ne veut pas la réveiller. Quand bien même il le tenterait, il n'y parviendrait pas."


Kweku est d'origine ghanéenne. Parti étudier aux Etats-Unis, il sera diplômé en médecine. Il y rencontrera sa 1ère épouse, Fola, d'origine nigériane. Un premier enfant, Olu, un garçon, naîtra à Baltimore. Suivront à Boston des jumeaux, un garçon, Kehinde, et une fille, Taiwo. La petite dernière, née prématurée de 10 semaines, Sadie, s'acrrochera à la vie comme personne. Alors que tout semblait réussir à Kweku, une intervention chirurgicale qu'il jugeait injustifiée le fera plonger. Une nouvelle vie pour toute sa famille commence alors...


Ce premier roman de Taiye SELASI nous transporte entre les continents africain et américain en passant par l'européen. C'est un véritable jubilé interculturel autour de la vie, de la mort aussi. Je vous laisse méditer cette citation...

Au cas où un malheureux nourrisson ne survivrait pas le week end, on décourageait ses parents de choisir un prénom et on gribouillait "Bébé" devant le patronyme sur l'étiquette de la couveuse. P. 24 25

C'est le parcours de toute une famille dont chaque membre affronte l'existence avec ses forces et ses faiblesses.


C'est notamment un très beau portrait de femme, le combat d'une mère de famille en terre étrangère pour donner le meilleur à ses enfants, leur donner de quoi manger, les éduquer, les aider à se construire. Dupée, elle a parfois fait de mauvais choix dont ses enfants portent les empreintes, mais, n'est ce pas la vie ?


Je me suis littéralement laissée porter par cette femme qui, pour certains paraitrait ordinaire, mais qui, pour moi, revêt des dimensions hors du commun, une très belle personne !


C'est enfin le retour aux origines, l'appel irrésistible de la terre natale.


Un beau 1er roman à découvrir.

 

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2015-03-08T13:50:30+01:00

Crowdfounding au féminin, signé Lindsey NEFESH-CLARKE !

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Crowdfounding au féminin, signé Lindsey NEFESH-CLARKE !

Pour aider les femmes à aller au bout de leur projet et créer leur entreprise, il y a des hommes (un peu), il y a des femmes (beaucoup, passionnément...).


Et il en est une, d'exception, parmi beaucoup d'autres : Lindsey NEFESH-CLARKE. J'ai envie de partager avec vous son parcours, aujourd'hui, le 8 mars 2015, journée internationale pour le droit des femmes.

Pourquoi elle ?


Ses nombreux voyages dans le monde entier lui ont fait prendre conscience d'une surexposition des femmes à de nombreux fléaux : la pauvreté, une mauvaise santé, un manque voire l'absence d'éducation, les violences de tous ordres...


Ils lui ont également permis d'en rencontrer avec une capacité incroyable à résister, une volonté farouche d'agir.


Persuadée que le changement de société sera insufflé par les femmes, elle a décidé de leur créer un outil : une plate-forme destinée à collecter des fonds ! Elle est effectivement la Fondatrice et la Directrice de W4 (women’s worldwide web) qui apporte un soutien financier aux projets développés en faveur des femmes. Mais, en réalité, c'est elle qui en parle le mieux !


De nombreux projets sont proposés avec un appel au don pour permettre leur mise en oeuvre. Certains projets voient les fonds affluer comme celui porter par 5 étudiants d'HEC : "Follow her"

Elles, elles, ont choisi de miser sur les Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication pour favoriser leur développement.


Un peu comme Michel SERRES dans "Petite poucette", ces jeunes femmes considèrent ces outils de diffusion de l'information comme une véritable opportunité pour permettre à des femmes de se soigner, d'accéder au savoir, de s'émanciper...

Alors, bon choix pour cette journée hors du commun ?

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2015-03-03T13:33:24+01:00

Rencontre Women in the city. Rendez-vous le 8 mars !

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La 1ère journée internationale de la femme célébrée un 8 mars par l'Organisation des Nations Unies fête en 2015 ses 40 ans.

Et les femmes rivalisent d'ingéniosité dans la planification d'événements, chaque année, pour assurer la promotion de leurs qualités, leurs compétences, leurs qualifications, leurs capacités... (petit clin d'oeil : tous ces mots sont au féminin, c'est un signe non ?) et la liste pourrait être longue !


Je viens de découvrir, près de chez moi, un réseau associatif (composé de femmes bien sûr !) avec pour objectifs :


* Promouvoir les savoirs-faire des women,
* Révéler de nouveaux talents,
* Faire du business au féminin.


Il porte une initiative originale : des rencontres Women in the City.


Convaincue du fait que "Pour être aimé, il faut d'abord s'aimer soi-même", cette association organise son 1er forum "Bien-être" à Angers.


Exposition, ateliers, table ronde, conférences, récital chant et piano, la totale pour faire le tour de la question : voir, agir, parler, échanger, écouter, les sens seront en éveil dimanche 8 mars prochain.


Toutes les informations pratiques sont sur le site dédié.


Alors, on s'y retrouve ?

Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux ?

Titre de la table ronde.

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