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Articles avec #mes oeuvres d'art catégorie

2020-04-17T16:47:52+02:00

La vendeuse d'arums de Diego RIVERA

Publié par Tlivres
La vendeuse d'arums de Diego RIVERA

Après Frida KAHLO et son "Autoportrait au Collier d'Epines et Colibri", impossible de ne pas consacrer un billet à son amoureux, Diego RIVERA. Tous deux se sont aimés à la folie, ils se sont haïs aussi, l'occasion d'un petit clin d'oeil au roman de Claire BEREST "Rien n'est noir", énorme coup de coeur de la rentrée littéraire de septembre 2019.

Et puisque nous avons décidé de publier chaque jour une toile d'artiste autour du thème du vert, symbole de l'espoir, j'ai choisi de partager avec vous aujourd'hui "La vendeuse d'arums" réalisée en 1942.

Cette toile m'inspire tout particulièrement.

Il y a cette fleur d'arum, une fleur récurrente dans l'oeuvre de l'artiste mexicain, et quand on sait que dans le langage des fleurs elle représente le Désir ardent, emblème s'il en est un de la masculinité et de la fertilité, on peut aisément imaginer l'amour fougueux qu'il vouait à Frida et plus largement, aux femmes. 

Cette fleur d'arum, plutôt originaire d'Afrique, est représentée dans une large brassée, comme le signe d'une nature généreuse et d'une économie florissante reposant sur l'activité agricole, la production et la commercialisation des produits, dans laquelle les femmes jouent un rôle très important. J'y vois une reconnaissance des femmes sud-américaines avec les nattes et le châle aux couleurs traditionnelles qui, doté de sangles, leur permet de porter des charges exceptionnelles.

Outre la composition de cette toile, c'est aussi le contraste des couleurs, plutôt chatoyantes et lumineuses, qui me plaît ici.

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2020-04-16T11:40:00+02:00

No. 153 de David HOCKNEY

Publié par Tlivres
"No. 153" - 5th April 2020 - iPad drawing © David Hockney

"No. 153" - 5th April 2020 - iPad drawing © David Hockney

Poursuivons ensemble nos découvertes artistiques autour du thème du vert, thème de l'espoir en cette période de confinement.

Place aujourd'hui à un formidable cadeau offert par David HOCKNEY, artiste peintre né au Royaume-Uni, à la Directrice artistique du Théâtre du Châtelet, Ruth MACKENZIE.

Le cadeau est pluriel. 

Il repose sur dix oeuvres d'art, inédites, réalisées à l'iPad.

La "No. 153" en fait partie, elle a été réalisée le 5 avril dernier. David HOCKNEY célèbre l'arrivée du printemps, en Normandie, tout en beauté.

Le nuancier de verts, chatoyants, donne de la modernité à un tableau qui pourrait s'apparenter aux oeuvres des Impressionnistes. J'aime cette conception avec la juxtaposition de plusieurs plans, l'ombre de l'arbre concourt à lui donner de la profondeur.

Et puis, il y a une lettre, une lettre ouverte qui fait l'éloge de la nature, de l'amour et du réconfort.

Cette lettre s'inscrit dans la prodigieuse série intitulée "Lettres d'intérieur", initiée par Augustin TRAPENARD sur France Inter depuis le début du confinement.

A l'art de peindre se joint la puissance des mots. Si d'aventure vous avez quelques minutes devant vous, je vous invite à lire cette lettre dont chacun, chacune, aurait certainement voulu être destinataire. Juste sublime ! 

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2020-04-15T12:13:12+02:00

Popasna de Seth

Publié par Tlivres
Popasna de Seth

Avec Florence&Littérature et Christine - Calliope&Pétrichor sur Twitter et Eliane sur Insta, nous posterons chaque jour du mois d'avril une toile d’artiste. En cette période de confinement, nous avons choisi comme thème le vert de l’espoir.

Après Marc CHAGALL, Frida KAHLO, Jade RIVERA, Pablo PICASSO, Robert DELAUNAY, Alix de BOURMONT, Elisabeth VIGEE LE BRUN, Gustav KLIMT, Salvador DALI, Joan MIRO, René MAGRITTEBerthe MORISOT, Nathalie DUBOISEdouard MANET, 

place à SETH avec "Popasna", 2019.

SETH, c'est un graffeur français, que j'ai déjà évoqué beaucoup sur le blog.

Je trouve ses fresques tout à fait exceptionnelles. 

Il a l'habitude de mettre l'enfant au coeur de ses créations, tout en beauté.

Mais plus que ça, c'est aussi la démarche de l'homme qui me plaît. Ainsi, la fresque monumentale d'aujourd'hui a-t-elle été réalisée dans la ville de Popasna, touchée par le conflit ukrainien, lors de son second séjour en 2019. Il y a réalisé des ateliers d'art plastique avec les enfants de l'école. Cette fresque, c'est son regard porté sur les traumatismes des enfants et leur capacité de résilience.

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2020-04-14T16:43:55+02:00

Le printemps d’Edouard MANET

Publié par Tlivres
Le printemps d’Edouard MANET

Avec Florence&Littérature et Christine - Calliope&Pétrichor sur Twitter et Eliane sur Insta, nous posterons chaque jour du mois d'avril une toile d’artiste. En cette période de confinement, nous avons choisi comme thème le vert de l’espoir.

Après Marc CHAGALL, Frida KAHLO, Jade RIVERA, Pablo PICASSO, Robert DELAUNAY, Alix de BOURMONT, Elisabeth VIGEE LE BRUN, Gustav KLIMT, Salvador DALI, Joan MIRO, René MAGRITTEBerthe MORISOT, Nathalie DUBOIS,

place à cette toile réalisée par Edouard MANET en 1881 : "Le printemps".

Elle fait partie d'une série, malheureusement inaboutie.

Après « L’automne », l’artiste se lance dans cette création, il brosse le portrait de l’actrice Jeanne de Marsy.

Edouard MANET décédera avant d’avoir pu réaliser les deux œuvres complémentaires qui auraient permis de boucler la boucle. Sacrilège quand on voit la beauté de la toile.

En novembre 2014, la toile a été mise en vente aux enchères par Christie’s, elle est partie moyennant la somme de 65 millions de dollars. C’est la somme record obtenue par une œuvre de l’artiste impressionniste français.

Peut-être est-ce vous qui l’avez aujourd'hui exposée dans votre salon !

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2020-04-13T11:50:29+02:00

Tournesol de Nathalie DUBOIS

Publié par Tlivres
Tournesol de Nathalie DUBOIS

Avec Florence&Littérature et Christine - Calliope&Pétrichor sur Twitter et Eliane sur Insta, nous posterons chaque jour du mois d'avril une toile d’artiste. En cette période de confinement, nous avons choisi comme thème le vert de l’espoir.

Après Marc CHAGALL, Frida KAHLO, Jade RIVERA, Pablo PICASSO, Robert DELAUNAY, Alix de BOURMONT, Elisabeth VIGEE LE BRUN, Gustav KLIMT, Salvador DALI, Joan MIRO, René MAGRITTE, Berthe MORISOT,

place à Nathalie DUBOIS et son "Tournesol",

réalisé depuis le début du confinement, en avril 2020.

Cette angevine d'adoption, je l'ai découverte avec les créations de la résidence d'artiste au CHU d'Angers, un travail tout à fait extraordinaire avec des oeuvres qui le sont tout autant, d'une finesse fascinante. Ses matériaux d'alors :  des radios, des opercules de sérum utilisés pour les perfusion... Là, c'est aussi la démarche participative qui m'a intéressée.

Aujourd'hui, j'ai envie de partager avec vous son "Tournesol" qui représente une période de création atypique. Alors qu'elle nous avait habitués au monochrome, place à la couleur, au trait fin, place au tracé large. Pas un centimètre carré de blanc !

J'aime dans ses tableaux d'aujourd'hui l'esprit de mouvement. J'y perçois un élan comme si une légère bise venait animer ses fleurs qu'elle veut colorées.

Vous pouvez bien sûr consulter son site internet ou bien son compte Instagram pour avoir une plus grande idée de la richesse de son art. 

J'espère que nous pourrons ensemble rédiger une "Visite d'atelier" une fois cette période de confinement derrière nous.

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2020-04-12T12:04:17+02:00

Vue de Paris des hauteurs du Trocadéro de Berthe MORISOT

Publié par Tlivres
Vue de Paris des hauteurs du Trocadéro de Berthe MORISOT

Avec Florence&Littérature et Christine - Calliope&Pétrichor sur Twitter et Eliane sur Insta, nous posterons chaque jour du mois d'avril une toile d’artiste. En cette période de confinement, nous avons choisi comme thème le vert de l’espoir.

"Moi et le villagede Marc CHAGALL, 1911

"Autoportrait au Collier d’Épines et Colibri" de Frida KAHLO, 1940

"El paseo" de Jade RIVERA, 2020

« Jacqueline avec des fleurs » de Pablo PICASSO, 1954

« Rythme, Joie de vivre » de Robert DELAUNAY, 1930

« Grand-père moustachu » d'Alix de BOURMONT, 2015

« Portrait de Julie Le Brun » d'Elisabeth VIGEE LE BRUN, 1787

« L'Eglise de Cassone » de Gustav KLIMT, 1939

« Femme à tête de roses » de Salvador DALI, 1935

« Prades, le Village » de Joan MIRO, 1917

"Fils de l'homme" de René MAGRITTE, 1964

place aujourd'hui à la "Vue de Paris des hauteurs du Trocadéro" de Berthe MORISOT.

Autre siècle, autre style !

Berthe MORISOT est l'un des membres fondateurs de l'Impressionnisme, ce mouvement d'avant-garde qui l'amena à côtoyer Edouard MANET, Edgar DEGAS, Pierre-Auguste RENOIR et Claude MONET.

Cette toile date de 1872.

Je l'aime beaucoup pour la finesse du tracé, les personnages ont beau être en petites dimensions, on en distingue parfaitement les postures, et puis, il y a l'horizon, le tout Paris, ses monuments, la Seine, bref un environnement qui donne à voir la capitale de cette fin du XIXème siècle.

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2020-04-11T07:00:00+02:00

Le fils de l'homme de René MAGRITTE

Publié par Tlivres
© René Magritte / Collection privée

© René Magritte / Collection privée

Avec Florence&Littérature et Christine - Calliope&Pétrichor sur Twitter et Eliane sur Insta, nous posterons chaque jour du mois d'avril une toile d’artiste. En cette période de confinement, nous avons choisi comme thème le vert de l’espoir.

"Moi et le villagede Marc CHAGALL, 1911

"Autoportrait au Collier d’Épines et Colibri" de Frida KAHLO, 1940

"El paseo" de Jade RIVERA, 2020

« Jacqueline avec des fleurs » de Pablo PICASSO, 1954

« Rythme, Joie de vivre » de Robert DELAUNAY, 1930

« Grand-père moustachu » d'Alix de BOURMONT, 2015

« Portrait de Julie Le Brun » d'Elisabeth VIGEE LE BRUN, 1787

« L'Eglise de Cassone » de Gustav KLIMT, 1939

« Femme à tête de roses » de Salvador DALI, 1935

« Prades, le Village » de Joan MIRO, 1917

place au "Fils de l'homme" de René MAGRITTE, une huile sur toile réalisée en 1964.

Cet artiste belge, je l'adore. 

Fin 2016, le Centre Pompidou lui a consacré une exposition temporaire. Vous pensez bien que je m'y suis précipitée.

Sur cette création en particulier, j'aime le côté austère de la tenue de l'homme, la veste sombre, le chapeau melon, et le côté fantaisiste apporté avec la pomme, bien lisse, bien verte, presque irréelle, placée devant une partie du visage du peintre (un autoportrait).   

L'artiste aime jouer avec le spectateur de ses oeuvres dont certaines parties sont visibles, d'autres cachées.

D'ailleurs, à bien y regarder, l'oeil gauche se distingue entre le fruit et son feuillage, vraisemblablement une référence à sa mère qui s'est suicidée quand il n'était encore qu'un enfant et dont le visage restera caché, à l'exception de son oeil, gauche !

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2020-04-10T07:00:00+02:00

Prades, le Village de Joan MIRO

Publié par Tlivres
Prades, le Village de Joan MIRO

Avec Florence&Littérature et Christine - Calliope&Pétrichor sur Twitter etEliane sur Insta, nous posterons chaque jour du mois d'avril une toile d’artiste. En cette période de confinement, nous avons choisi comme thème le vert de l’espoir.

"Moi et le villagede Marc CHAGALL, 1911

"Autoportrait au Collier d’Épines et Colibri" de Frida KAHLO, 1940

"El paseo" de Jade RIVERA, 2020

« Jacqueline avec des fleurs » de Pablo PICASSO, 1954

« Rythme, Joie de vivre » de Robert DELAUNAY, 1930

« Grand-père moustachu » d'Alix de BOURMONT, 2015

« Portrait de Julie Le Brun » d'Elisabeth VIGEE LE BRUN, 1787

« L'Eglise de Cassone » de Gustav KLIMT, 1939

« Femme à tête de roses » de Salvador DALI, 1935,

place à « Prades le village » de Joan MIRO réalisée en 1917.

Nous restons en Espagne. Après DALI, je vous propose une oeuvre réalisée par l'artiste catalan à ses débuts.

J'ai eu l'immense chance de visiter l'exposition temporaire qui lui était dédiée fin 2018, début 2019, au Grand Palais de Paris. J'avais alors été surprise par ses toiles de villages, dignes d'un miniaturiste. Il y avait alors « Mont-Roig, l'église et le village ».

Aujourd'hui, je reste dans ce registre mais je vous propose "Prades le village", un tableau au trait plus grossier mais composé de couleurs vives, des couleurs chatoyantes comme je les aimes.

Cette toile, elle donne à voir le réalisme que le peintre aimait représenter dans sa jeunesse. Elle préfigure aussi du mouvement pictural dans lequel il va exceller et imaginer des compositions tout à fait extraordinaires. On y retrouve des lignes, vectrices d'une certaine forme de modernité.

Joan MIRO, c'est un peintre qui me fascine par ses créations et sa soif de liberté. En cette période de confinement, il nous offre cet élan qui nous manque tant aujourd'hui.

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2020-04-09T07:00:00+02:00

Femme à tête de roses de Salvador DALI

Publié par Tlivres
© Salvador Dalí, Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres, 2007

© Salvador Dalí, Fundació Gala-Salvador Dalí, Figueres, 2007

Avec Florence&Littérature et Christine - Calliope&Pétrichor sur Twitter etEliane sur Insta, nous posterons chaque jour du mois d'avril une toile d’artiste. En cette période de confinement, nous avons choisi comme thème le vert de l’espoir.

"Moi et le villagede Marc CHAGALL, 1911

"Autoportrait au Collier d’Épines et Colibri" de Frida KAHLO, 1940

"El paseo" de Jade RIVERA, 2020

« Jacqueline avec des fleurs » de Pablo PICASSO, 1954

« Rythme, Joie de vivre » de Robert DELAUNAY, 1930

« Grand-père moustachu » d'Alix de BOURMONT, 2015

« Portrait de Julie Le Brun » d'Elisabeth VIGEE LE BRUN, 1787

« L'Eglise de Cassone" de Gustav KLIMT, 1939

place à la "Femme à tête de roses" de Salvador DALI réalisée en 1935 et propriété de la Fondation Gala-Salvador Dalí.

Le peintre espagnol, je ne le présente pas, il est mondialement connu et vous pouvez retrouver sa biographie complète sur le site de la Fondation

Outre l'esthétique de la femme, ou la représentation des canons de la mode de cette époque, je trouve l'idée d'un bouquet de roses tout à fait originale et particulièrement émouvante dans la sensibilité qu'inspirent ces fleurs.

La composition surréaliste (une révélation de mes années lycée que je n'oublierai jamais) du  tableau est tout à fait extraordinaire. On imagine assez bien avoir atterri sur une autre planète que la Terre et y découvrir des êtres aux proportions monumentales. 

J'aime aussi la profondeur des couleurs, leur luminescence, elles sont un brin brillantes et concourent à donner à la toile un côté céleste. Je me prends à rêver...

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2020-04-08T07:00:00+02:00

Eglise de Cassone de Gustav KLIMT

Publié par Tlivres
Eglise de Cassone de Gustav KLIMT

Avec Florence&Littérature et Christine - Calliope&Pétrichor sur Twitter etEliane sur Insta, nous posterons chaque jour du mois d'avril une toile d’artiste. En cette période de confinement, nous avons choisi comme thème le vert de l’espoir.

"Moi et le villagede Marc CHAGALL, 1911

"Autoportrait au Collier d’Épines et Colibri" de Frida KAHLO, 1940

"El paseo" de Jade RIVERA, 2020

« Jacqueline avec des fleurs » de Pablo PICASSO, 1954

« Rythme, Joie de vivre » de Robert DELAUNAY, 1930

« Grand-père moustachu » d'Alix de BOURMONT, 2015

« Portrait de Julie Le Brun » d'Elisabeth VIGEE LE BRUN, 1787,

place à « L'Eglise de Cassone" réalisée par Gustav KLIMT en 1939.

Ce peintre, symboliste autrichien de la fin du 19ème siècle, je l'adore pour ses compositions d'une richesse inouïe. Je crois que je pourrais rester des heures devant une toile pour en découvrir les moindres détails. Je suis passionnée par les toiles miniaturistes et, avec Gustav KLIMT, j'avoue que je suis gâtée.

Ses collections sont nombreuses bien sûr. Mais il en est des privées, et c'est là que j'y ai puisé le vert !

En 1913, Gustav KLIMT séjourne en Italie, sur les rives du Lac de Garde, à Malsecine dans la province de Vérone. De ce village, il regarde les maisons en face par le biais d'un téléscope et nous en livre une représentation dans laquelle horizontalité (des maisons en espalier) et verticalité (les cèdres) se côtoient tout en beauté. 

Ce tableau me plaît beaucoup pour le panel de nuances, les couleurs sont d'une infinie diversité tout en restant dans les tons vert et bleu.

Impossible de citer ce peintre sans faire référence à un très beau roman de Martine MAGNIN, un coup de coeur pour "Le baiser de Gustav" aux  Editions Pierre Philippe. En avril l'année dernière, je disais :

 


Avec "Vigile" de Hyam ZAYTOUN, mon cœur s'est emballé dès la première page, ma respiration s'est coupée, je n'ai retrouvé un rythme cardiaque normal qu'en le refermant. Il n'y avait (que) 124 pages. Martine MAGNIN nous fait vivre un même tour de force, mais là, accrochez-vous, il y a 210 pages au programme ! Ouvrir le roman "Le baiser de Gustav", c'est assurément monter dans un ascenseur émotionnel, vous allez être suspendu(e) aux lèvres des médecins, vous allez vous emballer pour un frémissement de paupières !

Eglise de Cassone de Gustav KLIMT

Ne passez pas à côté !

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2020-04-07T11:42:00+02:00

Portrait de Julie Le Brun par Elisabeth Louise VIGEE LE BRUN

Publié par Tlivres
Portrait de Julie Le Brun par Elisabeth Louise VIGEE LE BRUN

Avec Florence&Littérature et Christine - Calliope&Pétrichor sur Twitter etEliane sur Insta, nous posterons chaque jour du mois d'avril une toile d’artiste. En cette période de confinement, nous avons choisi comme thème le vert de l’espoir.

"Moi et le villagede Marc CHAGALL, 1911

"Autoportrait au Collier d’Épines et Colibri" de Frida KAHLO, 1940

"El paseo" de Jade RIVERA, 2020

« Jacqueline avec des fleurs » de Pablo PICASSO, 1954,

« Rythme, Joie de vivre » de Robert DELAUNAY, 1930

« Grand-père moustachu » réalisé par Alix de BOURMONT en 2015

place au « Portrait de Julie Le Brun » par Elisabeth Louise VIGEE LE BRUN, une toile réalisée en  1787

Cette peintre française, formée par son père, Louis VIGEE, était une portraitiste, un registre largement développé en cette deuxième moitié du 18ème siècle.

Connue pour les toiles réalisées de Marie-Antoinette, le vert, je l'ai puisé dans sa collection dans un portrait de sa  fille, plus intime.

J'adore cette représentation du visage dans le miroir, c'est très ingénieux et parfaitement réussi. La candeur de l'enfance, la pertinence du regard, sont autant d'éléments qui me fascinent, sans compter sur le  traitement des étoles dans lequel Elisabeth Louise VIGEE LE BRUN excelle. Je me prends à rêver de toucher cette toile et mesurer la douceur de la matière. 

Les Galeries Nationales du Grand Palais l'ont mise à l'honneur d'une exposition fin

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2020-04-06T11:37:31+02:00

Grand-père moustachu d’Alix de BOURMONT

Publié par Tlivres
Grand-père moustachu d’Alix de BOURMONT

Avec Florence&Littérature et Christine - Calliope&Pétrichor sur Twitter et Eliane sur Insta, nous posterons chaque jour du mois d'avril une toile d’artiste. En cette période de confinement, nous avons choisi comme thème le vert de l’espoir.

"Moi et le villagede Marc CHAGALL, 1911

"Autoportrait au Collier d’Épines et Colibri" de Frida KAHLO, 1940

"El paseo" de Jade RIVERA, 2020

« Jacqueline avec des fleurs » de Pablo PICASSO, 1954,

« Rythme, Joie de vivre » de Robert DELAUNAY, 1930

place au « Grand-père moustachu » réalisé par Alix de BOURMONT en 2015.

J’ai découvert le talent de cette artiste lors de l’opération Les #Artsaucouvent à l’automne dernier et j’ai eu l’immense chance de faire sa connaissance lors de ma première visite d’atelier en janvier.

Pour tout vous dire, j’avais très envie de lui faire une petite place dans ce défi que nous nous sommes fixées. Toutefois, le vert n’est pas la couleur la plus présente dans son univers artistique.

J’ai toutefois trouvé cette œuvre qui, outre le style singulier et facilement reconnaissable des toiles d’Alix de BOURMONT, de par son titre, dévoile très bien son brin de fantaisie et son humour.

Nous sommes, c'est vrai, dans des couleurs pastels mais j’avoue que j’aime bien me dire que ce perroquet sera le témoin du temps incertain que nous traversons avec la pandémie du Covid-19. J’aimerais pouvoir compter sur sa sagesse et lui confier mes doutes, mes craintes, mes espoirs aussi.

Et puis, quand je lis cet extrait sur le site de Perroquet-royal.com, je me dis que définitivement il avait sa place dans notre collection :


Lorsque l'esprit animal du perroquet fait son entrée dans votre vie, vous serez bombardé de signaux nouveaux qui indiquent une nouvelle direction pour votre travail, vos relations et vos activités spirituelles. Le perroquet parle souvent à travers des présages et des signes qui se répètent. Par exemple, vous pouvez voir la couleur vert vif partout où vous allez. Le symbolisme de couleur pour le vert est GO. Évitez les prises de bec et quoi que vous ayez réfléchi, allez-y, foncez !

J’ai sincèrement adoré passer une heure à m’émerveiller des créations d’Alix de BOURMONT (que je partage sans modération !) mais aussi à échanger avec une femme passionnée et passionnante. 

Je vous invite à visiter son site pour vous faire une petite idée de son registre.

« Grand-père moustachu » est aussi ma #lundioeuvredart.

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2020-04-05T15:40:57+02:00

Rythme, Joie de vivre de Robert DELAUNAY

Publié par Tlivres
Rythme, Joie de vivre de Robert DELAUNAY

Avec Florence&Littérature et Christine - Calliope&Pétrichor sur Twitter et Eliane sur Insta, nous posterons chaque jour du mois d'avril une toile d’artiste. En cette période de confinement, nous avons choisi comme thème le vert de l’espoir. 

Après

"Moi et le villagede Marc CHAGALL, 1911

"Autoportrait au Collier d’Épines et Colibri" de Frida KAHLO, 1940

"El paseo" de Jade RIVERA, 2020

"Jacqueline avec des fleurs" de Pablo PICASSO, 1954

place à "Rythme, Joie de vivre" de Robert DELAUNAY, une toile réalisée en 1930.

Personnellement, j'adore cette peinture à plus d'un titre.

D'abord, il y a la géométrie (pour celles et ceux qui me connaissent bien, ils sauront que ce n'est pas la version mathématique que j'apprécie !!!), pour ce qu'elle offre en termes esthétique et artistique.

Et puis, il y a les couleurs, vives bien sûr, chatoyantes, lumineuses, pleines de gaieté.

Et ensuite, pour le mouvement qu'elle représente, je regarde cette oeuvre comme un engrenage, des roues qui s'entraînent les unes les autres (certes la machine est aujourd'hui grippée mais elle repartira, c'est certain) pour avancer en harmonie.

Et enfin, il y a ce titre : "Rythme, Joie de vivre". En ces temps de confinement, impossible de passer à côté l'occasion de se faire plaisir, n'est-ce pas ? Gardez, vous aussi, votre joie de vivre, il y aura des jours meilleurs, j'en suis persuadée. Beau dimanche !

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2020-04-04T06:00:00+02:00

Jacqueline avec des fleurs de Pablo PICASSO

Publié par Tlivres
Jacqueline avec des fleurs de Pablo PICASSO

Avec Florence&Littérature et Christine - Calliope&Pétrichor, sur Twitter, nous posterons chaque jour du mois d'avril une toile d’artiste. En cette période de confinement, nous avons choisi comme thème le vert de l’espoir. 

Après

"Moi et le villagede Marc CHAGALL, 1911

"Autoportrait au Collier d’Épines et Colibri" de Frida KAHLO, 1940

"El paseo" de Jade RIVERA, 2020

place à « Jacqueline avec des fleurs » de Pablo PICASSO, une toile réalisée en 1954, en admiration de Jaccqueline ROQUE, sa muse qu’il épousera en 1961 et dont il dira

J’aime beaucoup cette toile pour ses couleurs chatoyantes, les trois couleurs primaires, largement représentées, savamment ponctuées de quelques touches de rose pour donner de la légèreté et de la rondeur.

Je la trouve aussi très séduisante pour ce qu’elle donne à voir de la féminité dans le cubisme. Le profil se prête particulièrement bien au déploiement des lignes (horizontales, verticales, obliques) et au jeu des symétries dont il faut bien le dire, Pablo PICASSO est un expert.

Enfin, cette œuvre je la dédie à ma Maman, elle s’appelle Jacqueline, elle aussi 💖 

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2020-04-03T06:00:00+02:00

El paseo de Jade RIVERA

Publié par Tlivres
El paseo de Jade RIVERA

Avec Florence&Littérature et Christine - Calliope&Pétrichor, sur Twitter, nous posterons chaque jour du mois d'avril une toile d’artiste. En cette période de confinement, nous avons choisi comme thème le vert de l’espoir. 

Après

"Moi et le villagede Marc CHAGALL, 1911

"Autoportrait au Collier d’Épines et Colibri" de Frida KAHLO, 1940

place à 

« El paseo » de Jade RIVERA, 2020.

Cet artiste péruvien, je l’ai découvert lors d’un passage dans le quartier de Barranco à Lima. J’avais alors été happée par la beauté et la sensibilité d’une de ses fresques monumentales.

Depuis, je suis son actualité et j’ai été profondément touchée par le message qu’il vient d’adresser avec cette toile réalisée sur un petit format (120x190).

Connu pour se nourrir de la vie quotidienne, il se saisit du confinement mondial pour nous proposer de nous évader sur le dos d’un insecte, que je prends pour une coccinelle, porte-bonheur dans de nombreux pays. Il nous offre l’espoir d’un prochain envol. Les libellules viennent  donner de la légère dans un tableau aux couleurs chatoyantes.

Personnellement, je suis en admiration devant le côté poétique de cette création et du registre féerique de l’artiste. Mais il réalise aussi des œuvres au réalisme tout à fait bluffant. Je vous invite à consulter son site et à suivre son compte Instagram, il est absolument magnifique.

« Paciencia y calma Amigos », une sage philosophie de vie dans ce monde chahuté, non ?

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2020-04-02T06:00:00+02:00

Autoportrait au Collier d’Épines et Colibri de Frida KAHLO

Publié par Tlivres
Autoportrait au Collier d’Épines et Colibri de Frida KAHLO

Avec Florence&Littérature et Christine - Calliope&Pétrichor, sur Twitter, nous posterons chaque jour du mois d'avril une toile d’artiste. En cette période de confinement, nous avons choisi comme thème le vert de l’espoir. 

Après

"Moi et le village" de Marc CHAGALL, 1911

pour le J2, j'ai choisi une toile réalisée en 1940 par Frida KAHLO.

Avec la rentrée littéraire de septembre 2019, j'ai eu l'immense joie de vivre une page de l'histoire de la vie de cette artiste mexicaine avec la lecture du roman de Claire BEREST : "Rien n'est noir" aux éditions Stock, véritable coup de coeur, il n'en fallait pas plus pour qu'elle figure dans les toutes premières publications de ce nouveau challenge !

"Autoportrait au Collier d’Épines et Colibri" a retenu tout particulièrement mon attention. 

Outre le vert très présent, il y a ce collier d'épines, une référence à la religion chrétienne avec le Christ sur sa croix, comme autant de souffrances endurées chaque jour par la peintre, quasiment confinée, dans son lit, en raison du terrible accident de tramway dont elle a été victime à l'âge de 18 ans et qui a brisé ses os en mille morceaux. Vous vous souvenez peut-être de "La colonne brisée", un tableau représentant parfaitement la nécessité, pour elle, d'être corsetée pour tenir debout.

Mais il y a aussi le colibri, mort, le pendentif au cou de l'artiste. Dans la tradition mexicaine, il représente l'espoir, c'est un porte-bonheur. De concert avec les papillons dans les cheveux de Frida KAHLO, il contribue à nourrir ce sentiment d'un jour meilleur, encore possible. 

Et puis il y a le port altier de la peintre. Malgré toutes ses blessures, elle garde la tête haute, une véritable leçon de vie dans la pandémie du Covid19 à laquelle nous sommes confrontés.

Enfin, cette artiste, je l'admire pour la richesse de ses oeuvres, pas un centimètre carré ne reste blanc. Les tableaux sont foisonnants, tellement vivants. Le singe, on aurait envie de le caresser. Quant aux couleurs, elles sont tellement variées.

Ce n'est finalement pas très étonnant qu'elle soit devenue ces dernières années une véritable star, ses autoportraits reproduits à l'envi sur tout un tas d'accessoires de décoration. Peu m'importe finalement dès lors que l'ensemble promeut ses oeuvres et la fait connaître au plus grand nombre.

Je salue aussi Museum Art News, site sur lequel j'ai glané quelques éléments d'infos et qui contribue à la notoriété de l'artiste et la compréhension de son oeuvre.

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2020-04-01T11:40:00+02:00

Moi et le village de Marc CHAGALL

Publié par Tlivres
Moi et le village de Marc CHAGALL

Avec Florence&Littérature et Christine - Calliope&Pétrichor, sur Twitter, nous posterons chaque jour du mois d'avril une toile d’artiste.

En cette période de confinement, nous avons choisi comme thème le vert de l’espoir. 
Pour le J1, c’est une toile de Marc CHAGALL réalisée en 1911 que je vous propose.

Hier, sur la pyramide de Maslow, nous nous préoccupions de l'épanouissement de soi, nous étions à l’échelon le plus haut.
 

Et puis, il y a eu cette pandémie du Covid19 qui nous a entraînés dans une fulgurante dégringolade.

Aujourd’hui, nous ne sommes plus réduits qu’à la satisfaction de nos besoins physiologiques, 1er échelon de l’édifice. Notre principale préoccupation : Comment allons-nous continuer à manger ?

Hier, les agriculteurs étaient responsables des pires maux en matière d’environnement. Aujourd’hui, ils sont ceux qui nous nourrissent. Les filières de vente des produits locaux s’organisent, le contact est de nouveau établi, la confiance au cœur du débat.

Pour ouvrir ce mois d’avril dédié au thème du vert de l’espoir (ce dont nous avons tous besoin n’est-ce pas ?), je voulais une toile qui représente parfaitement notre état d’esprit du moment avant qu’il ne mute et que nous ne nous précipitions de nouveau à l’assaut des échelons supérieurs de ladite pyramide.

« Moi et le village » m’a paru tout à fait à propos. Outre la couleur verte, très présente, il y a aussi le monde rural , celui de la terre nourricière et des hommes qui y travaillent. Le peintre d’origine russe arrive tout juste à Paris à cette période. Il réalise  cette peinture à l’huile sur la base de souvenirs heureux vécus dans son village de Vitebsk, dans son pays.

Et puis, je suis happée par les différentes formes de communication qui y sont représentées. Le regard occupe une place d'honneur, au premier plan, avec l'homme à droite, le peintre lui-même, et l'animal à gauche, une chèvre. Ils se font face, leurs yeux se croisent et dévoilent une attention portée à l'autre. Celle du toucher aussi, je la ressens avec cette paysanne trayant une vache. 

Enfin, il y a la composition du tableau qui me plaît beaucoup. J’adore le cubisme et toutes ces créations faisant de la symétrie un terrain de jeu. Il y a des lignes droites (de fuite ?) et un cercle qui donnent l'image d'un mouvement, un peu comme un manège, à moins que ça ne soit la terre qui tourne...  

Il n’en fallait pas plus pour que cette toile ouvre la marche de cette nouvelle aventure. Vous aimez ?

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2020-03-30T16:31:56+02:00

Le Verdier d'Europe photographié par Fabrice LENFANT

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© Fabrice LENFANT

© Fabrice LENFANT

La photographie est peu présente sur le blog. Aujourd'hui, j'ai envie de me rattraper et de mettre à l'honneur un cliché que je trouve magnifique pour ce qu'il représente : l'envol, la légèreté, la liberté, la finesse, l'esthétique... et l'altérité, tout ce dont nous avons besoin en ce moment, non ?

C'est ma #lundioeuvredart.

Outre cette très belle image du Verdier d'Europe, un oiseau protégé en France depuis 1981, c'est plus globalement le travail de Fabrice LENFANT, passionné, que je souhaite présenter.

Il m'émerveille chaque jour. Maintenant, vous me connaissez, impossible de garder cette petite perle rien que pour moi ! Alors, je vous invite à visiter son compte Instagram et/ou sa page Facebook. Nul doute que vous aussi serez fascinés par la beauté de ses collections, de l'ART tout simplement ! 

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2020-03-23T17:50:00+01:00

Joie de vivre de Niki de SAINT-PHALLE

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Joie de vivre de Niki de SAINT-PHALLE

J’avais ouvert l’année 2019 avec « Joie de vivre » de Niki de SAINT-PHALLE. Cette "Nana" faisait partie de toute une collection réalisée par l'artiste comme un pied de nez aux canons de la beauté. Elle nous ouvrait la voie des femmes émancipées, libres, lumineuses, joyeuses, colorées... 

Nous sommes en 2020 et plus que jamais, de la "Joie de vivre", nous en avons besoin, alors, je fais de cette sculpture monumentale ma #lundioeuvredart.

Portez-vous bien et #restezchezvous !

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2020-03-16T08:00:54+01:00

Soutien de Lorenzo QUINN

Publié par Tlivres
Soutien de Lorenzo QUINN

C'était à l'été 2017.

Je découvrais, dans le cadre de la Biennale de Venise, deux mains tentaculaires sortant du Grand Canal de Venise pour soutenir la façade d'un monument historique.

Cette création de Lorenzo QUINN, artiste italien, avait pour objectif de sensibiliser au réchauffement climatique et aux risques encourus par la Cité des doges.

Nous sommes en 2020. "Soutien" est ma #lundioeuvredart comme un message lancé à celles et ceux que j'aime plus que tout.

 

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