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Articles avec #mes messages catégorie

2021-01-27T07:00:00+01:00

La femme révélée de Gaëlle NOHANT

Publié par Tlivres
La femme révélée de Gaëlle NOHANT

La rentrée littéraire de janvier se décline aussi en version poche.

Après 

Et toujours les Forêts de Sandrine COLLETTE

place à

La femme révélée de Gaëlle NOHANT.

Eliza Bergman est née en 1919. Elevée à Hyde Park, enfant, elle se souvient de toutes ses promenades avec son père dans des quartiers défavorisés. Il était médecin, reconverti dans la recherche en sociologie à l’université de Chicago, et aimait faire découvrir à sa fille la diversité des hommes. A 31 ans, elle laisse son fils, Martin, alors âgé de 8 ans, et quitte précipitamment les Etats-Unis à destination de la France. Armée de son Rolleiflex, son seul effet personnel, et devenue Violet, elle immortalise le tout Paris des années 1950. C'est là qu'elle va lentement se (RE)construire, au gré des rencontres, des relations d'amitié, d'amour aussi, qu'elle va savamment tisser entre authenticité et imposture. Comme une funambule sur son fil, elle va éprouver le jeu de l'équilibre pour mieux savourer les joies de sa liberté retrouvée et aller jusqu'au bout de ses convictions pour peut-être, un jour, retrouver son pays, ses racines.

Cette lecture m'a captivée par l'entrée en matière, artistique. Le Rolleiflex est à lui seul un personnage. Créé en 1929, c'est le nec plus ultra des appareils, aujourd'hui encore largement plébiscité. Avec lui, c'est le pouvoir de l'oeil qu'elle va explorer. Gaëlle NOHANT nous fait ainsi entrer dans le monde de la photographie, cette discipline qui permet de porter un regard singulier sur le monde. 

Le simple fait d'armer le Rolleiflex permet de se distancier du monde, de faire ce pas de côté, de s'en extraire pour mieux le regarder, l'ausculter, l'examiner. 

C'est par cette voie que l'écrivaine aborde la condition féminine, celle des années 1920-1930 aux Etats-Unis et 1950-1960 en France. Dès les origines, il y a cette enfant née dans un univers familial bourgeois, promise à un bel avenir au bras d'un homme fortuné, quel plus beau cliché ? Et puis, il y a cette destinée empreinte d'humanité, entre le Jardins du Luxembourg et Aubervilliers. L'écrivaine brosse des portraits de femmes hauts en couleur, non pas qu'elle cache leurs faiblesses et leurs fragilités, loin s'en faut, mais c'est dans leur force et leurs convictions qu'elles rayonnent.

Je ne vous en dirais pas plus parce que c'est là aussi le charme de ce roman mais Eliza devenue Violet a un dessein. Certains évoqueraient son histoire sur fond d'abandon, elle, non !

Avec cette fresque, il est question de transmission, de mémoire. Gaëlle NOHANT explore aussi l'Histoire de Chicago des années 1960-1970, l'assassinat de Martin LUTHER KING, les émeutes qui ont suivi, les violences faites aux Noirs, l'injustice, le racisme...

La plume de Gaëlle NOHANT est absolument magnifique. D'une profonde sensibilité, elle est presque cinématographique. Tout au long de cette lecture, j'ai eu l'impression de regarder un film défiler sous mes yeux. Et puis, elle a cette capacité à embrasser cinquante ans de l'Histoire transatlantique, naviguant entre fiction et réalité, par la voie de personnages extrêmement attachants, la garantie d'un immense talent. 

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2021-01-20T18:26:53+01:00

Et toujours les Forêts de Sandrine COLLETTE

Publié par Tlivres
Et toujours les Forêts de Sandrine COLLETTE

La rentrée littéraire de janvier se décline aussi en version poche.

Grande nouvelle, le roman de Sandrine COLLETTE, "Et toujours les Forêts", lauréat de nombreux prix littéraires en 2020, est aujourd'hui édité chez "Le livre de poche".

Je vous dis quelques mots de l'histoire :

Corentin est né d'une mère séquestrée, une mère qui était condamnée à porter l'enfant de la honte. Elle ne sera libérée au grand jour que lorsque son bébé sera prêt à naître. Mais ce bébé, Marie n'en voulait pas. Alors, après sa naissance, elle a pris l'habitude de le confier à d'autres, et puis un jour, elle l'abandonne dans la forêt, à deux pas de la maison d'Augustine. C'est elle qui va l'élever. Les études supérieures le guident vers la ville. Dans la cité urbaine, il va se lier d'amitié avec des étudiants de son âge qui fréquentent les galeries souterraines. Un jour, la "catastrophe" se produit. Lorsqu'il sort de la galerie, le monde est dévasté. Là commence une nouvelle histoire, à la vie, à la mort.

 

Si personnellement, je suis progressivement devenue une lectrice inconditionnelle de ses histoires, j'avoue être toujours totalement scotchée par l'intrigue, que dis-je, les intrigues. Parce que, lorsqu'on a le talent de Sandrine COLLETTE, on ne recule devant rien. L'écrivaine livre une histoire rythmée par les pièges qu'elle ne manque pas de tendre à ses personnages. A peine l'un évité qu'un nouveau apparaît, donnant ainsi au roman une cadence infernale.

Quant à la chute, elle est magistrale, bien sûr !

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2021-01-02T10:08:36+01:00

Très belle année 2021

Publié par Tlivres
Très belle année 2021
Avec
Véronique VANTESONE et sa "Fusion dodue",
 
je vous souhaite
 
une très belle année 2021,
 
portée par un élan de fantaisie, de joie et de gaieté, ponctuée par de belles rencontres et mille et un petits plaisirs ♥️

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2020-12-13T20:22:06+01:00

Place au bilan de mes découvertes de novembre 2020

Publié par Tlivres
Place au bilan de mes découvertes de novembre 2020

Parce que les moments de plaisir se consomment sans modération, retour en images et sur une musique de Ashutosh sur toutes mes découvertes du mois de novembre 2020.

Il y a eu des livres bien sûr :

Nature humaine de Serge JONCOUR 

Les vies secrètes de Paris de Katia CHAPOUTIER

Histoires de la nuit de Laurent MAUVIGNIER

La désobéissance d'Andreas Kuppler de Michel GOUJON

Avant que j'oublie de Anne PAULY, Prix du Livre Inter 2020

La race des orphelins de Oscar LALO

 

Une BD :

Kiki de Montparnasse

Des oeuvres d'art :

Une sculpture de Kiki de Montparnasse réalisée par Pablo GARGALLO

Un pan du mur de Berlin pour célébrer le 31ème anniversaire de sa chute

Un collage de AL1 pour honorer la mémoire de Samuel PATY

Le baiser de Prunelle

Un Botero pour la "Journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes" 

Une fresque de AL1 toujours en mémoire de Jeanne MOREAU

Et de la musique avec :

Imagine Dragons

Madona

Tryo

This is the kit

David Gueta et Sia

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2020-11-25T18:25:00+01:00

Journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes

Publié par Tlivres
Journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes

Quel plus bel ambassadeur que Botero Pop pour cette "Journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes" ?

Sur Angers, si vous déambulez en centre-ville, peut-être admirerez vous le collage de "Nous toutes" réalisé sur le féminicide.

 Le créateur de ce petit personnage, que l'on voit maintenant un peu partout, en France et à l'étranger, a beaucoup de choses à dire et il ne manque pas de nous proposer, si ce n'est chaque jour, très régulièrement, un Botero Pop aux couleurs du jour.

Celui-là date un peu mais je l'ai choisi pour ce qu'il évoque et puis, aussi, pour le support qui l'accueille. Les traces des agressions laissées (par le temps mais pas que !) sur le mur sont à l'image de ce que peuvent porter les femmes aujourd'hui.

Plus que jamais, soyons uni(e)s pour lutter contre cette violence inacceptable et rappeler le 3919 (service d'écoute, d'information, d'orientation) et le SMS au 114 (quand il y a impossibilité de parler).

Je profite de cette journée pour remettre sous les projecteurs le roman de Louise MEY : "La deuxième femme", un livre nécessaire pour apprendre à décrypter le phénomène de l'emprise.

Impossible de vous quitter sans évoquer également cette BD de Thomas MATHIEU "Les crocodiles" aux éditions Le Lombard, une BD pour évoquer le harcèlement de rue. C'est ma #mercrediBD.

 

Journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes

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2020-10-31T16:29:34+01:00

#Octobrerose, 🎬 de fin de l’édition 2020 💓

Publié par Tlivres
#Octobrerose, 🎬 de fin de l’édition 2020 💓

Comme l’année dernière, Eliane, Christine, Florence et moi avons publié chaque jour une image pour soutenir la cause d’ #Octobrerose 💓

Au final, c’est un jubilé merveilleux d’œuvres d’art d’une diversité exceptionnelle.

A vous d’apprécier...

Chez Christine, place à la photographie appareil photo

#Octobrerose, 🎬 de fin de l’édition 2020 💓
#Octobrerose, 🎬 de fin de l’édition 2020 💓
#Octobrerose, 🎬 de fin de l’édition 2020 💓
#Octobrerose, 🎬 de fin de l’édition 2020 💓
#Octobrerose, 🎬 de fin de l’édition 2020 💓

Jour 1 📸 Robert Doisneau

 

Jour 2 📸 Adam Mendonca

 

Jour 3 📸 Yevonde Cumbers Middleton aka Madame Yevonde

 

Jour 4 📸 Martin Parr

 

Jour 5  📸 Raymond Depardon

 

Jour 6 📸 Richard Misrach

 

Jour 7 📸 ©Philippe Sainte-Laudy

 

Jour 8 📸 ©Ricardo Bofill, La Muralla roja, Postmodernisme, Calpe, Espagne

 

Jour 9 📸 Sam Abell

 

Jour 10 📸 Patrick Chatelier

 

Jour 11 📸 Karen Knorr

 

Jour 12  📸 Bruno Barbey, Vent d’Est à Tanger, 1995

 

Jour 13  📸 

« Agnès, tu la veux comment, la voiture ? 

— Rose avec des étoiles vertes ! » L’homme de Rio, Philippe De Broca

 

Jour 14  📸 Vivienne Gucwa, Central Park

 

Jour 15  📸 Matt Henry, Goat Island

 

Jour 16 📸 Diptendu Dutta

 

Jour 17 📸William Klein, Antonia and Simone at the Barber Shop, New York, 1962

 

Jour 18 📸 Steve McCurry, Procession de moines à Rangoon, 1994

 

Jour 19  📸 Joakim Eskildsen

 

Jour 20  📸 Robby Müller, Polaroïd, Santa Fe, pour Paris, Texas (1984) de Wim Wenders

 

Jour 21  📸 Nicolas Comment

 

Jour 22 📸 Norman Parkinson pour Vogue, automne 1957

 

Jour 23  📸 Philippe Halsman, Audrey Hepbrun, 1954, pour le magazine LIFE

 

Jour 24  📸 Saul Leiter

 

Jour 25  📸 Eve Arnold, 1979

 

Jour 26  📸 Olivier Morisse

 

Jour 27 📸 Ed Freeman, Sundowner Motel, Desert Shores, Californie. 

 

Jour 28  📸 Annie Leibovitz, Drew Barrymore pour Belle et la Bête

 

Jour 29 📸 Michaela Sibi

 

Jour 30 📸 Ola Kolehmainen

 

Jour 31 et dernier 📸Ralph Gibson

 

 

Chez Florence, place à la peinture et aux illustrations

#Octobrerose, 🎬 de fin de l’édition 2020 💓
#Octobrerose, 🎬 de fin de l’édition 2020 💓
#Octobrerose, 🎬 de fin de l’édition 2020 💓
#Octobrerose, 🎬 de fin de l’édition 2020 💓
#Octobrerose, 🎬 de fin de l’édition 2020 💓

Jour 1 🎨 The New Yorker by #AnatolKovarsky May 20, 1961

 

Jour 2 🎨 @ MonicaRohan (artiste australienne)

 

Jour 3 🎨 #PotPourri (1897) de Herbert James Draper

 

Jour 4 🎨 « Jeune femme au ruban rose » 🎀 de Marie Laurencin (1885-1956)

 

Jour 5 🎨 « L’enfant à la veste rose (1973) de Mai Trung Thu (1906-1980)

 

Jour 6 🎨 « La femme en rose » (1907) de #RaoulDufy 🇫🇷

 

Jour 7 🎨 illustration : Paul Bert Serpette par Pierre Le-Tan (1950-2019)

 

Jour 8 🎨 « Femme au fauteuil sur fond rose » (1939) de Pablo Picasso

 

Jour 9 🎨 « Le Pavillon dans la roseraie » (1931) de Henri Le Sidaner

 

Jour 10 🎨 «La nappe rose» (1925) de Henri Matisse

 

Jour 11 🎨 «La Nappe rose» (1938) de Georges Braque

 

Jour 12 🎨 «La Ronde» (1910) de Natalia Goncharova

 

Jour 13 🎨 Banksy – porte de la Chapelle, Paris

 

Jour 14 🎨 Still Life with Rose de Giovanni Boldini

 

Jour 15 🎨 Le verre d’eau (1947) d’Augustin Rouart (1907-1997)

 

Jour 16 🎨 Alphonse Mucha (1860-1939)

 

Jour 17 🎨 Bernie Fuchs (illustrateur américain 1932-2009)

 

Jour 18 🎨 🖌️ Illustration from Sonia Delaunay: A Life of Color

 

Jour 19🎨Portrait of a ballerina L.A. Ivanova,1922 de Zinaid Serebriakova 1884-1967

 

Jour 20 🎨 The Indiscreet Jewels, René Magritte, 1963

 

Jour 21 🎨 La Preghiera, 1914 de Felice Casorati

 

Jour 22🎨 Bouquet of Flowers, 1909 de Henri Rousseau (source : @artrousseau)

 

Jour 23 🎨 Party Hats de @Augustwren 

 

Jour 24 🎨 Puissante bonté @Olalarte 2020

 

Jour 25 🎨 Vallie le Boeuf 2020

 

Jour 26 🎨 Fleur du mardi de Illustrationst 2020

 

Jour 27 🎨 Haras.nitram 2020

 

Jour 28 🎨 Marie Deligny 2020

 

Jour 29 🎨 Tatjanamaiwyss 2020

 

Jour 30 🎨 Minji Kim

 

Jour 31 🎨 The dance off de Anna wright illustration2020

 

 

Chez Eliane, place à la peinture

#Octobrerose, 🎬 de fin de l’édition 2020 💓
#Octobrerose, 🎬 de fin de l’édition 2020 💓
#Octobrerose, 🎬 de fin de l’édition 2020 💓
#Octobrerose, 🎬 de fin de l’édition 2020 💓
#Octobrerose, 🎬 de fin de l’édition 2020 💓

Jour 1 Klimt, portrait de Mäda Primavesi (1912)

 

Jour 2 John William Waterhouse, Psyché entre chez Cupidon

 

Jour 3 Théo Van Russel Berghe, portrait de la violoniste Irma Sethe

 

Jour 4 Amedèo Modigliani Jeanne Hebuterne bien sûr

 

Jour 5 Alex von Javlesky Jeune fille aux pivoines

 

Jour 6 Picasso, La maternité, période rose évidemment (1904-1906)

 

Jour 7 Khalo Bukovac (peintre croate) Portrait de la baronne Rukavina

 

Jour 8 Cuno Amiet (peintre suisse 1868-1961) Jeune fille assise

 

Jour 9 Hugo Pratt, les chemins du rêve (pour la fondation Folon)

 

J 10 Portrait de mademoiselle Ehrler par Léon Riesener, peintre romantique (1808-1878)

  

J 11 « Rosa triplex » Dante Gabriel Rossetti

 

J12 Pour voyager un peu, une œuvre de Claude Dambreville, écrivain et peintre haïtien

 

J13 Miss.Tic, poète d’art urbain

 

J14 Maurice Denis Plage de Tregastel, 1ers pas d’Antoine

 

J15 Valse intime, de Georges Redon, peintre, illustrateur et affichiste

 

J16 Park Hang Ryul, peintre coréen (1950) L’invitation au rêve

 

J17 Angelo Morbelli (italien divisionniste) Femmes à la rizière

 

J18 Boleslaw von Szankowski (portraitiste polonais) Le flamenco

 

J19 Audrey Kawasaki, jeune artiste de Los Angeles, peinture sur bois

 

J20 Stella im Hultberg coréenne vivant aux USA Femme fleurs

 

J21 Giovanni Boldoni - Femme en rose

 

J22 - Federico Zandomeneghi - Fille avec des fleurs

 

J 23 Émile Deckers, Jeune fille en rose

 

J24 Haruyo Morita, artiste japonaise née en 1945

 

J25 Richard S. Johnson, peintre américain Chicago né en 1953

 

J26 Le paravent Joséphine Baker de Émile Compard (expo Fénéon)

 

J27 Tamara de Lempika - La chemise rose (peintre polonaise Art déco)

 

J28 Pour les 70 ans du festival de Cannes

 

J29 Magritte - Shéhérazade , l’une des variations

 

J30 Elisabeth Shippen Green, illustratrice américaine 

Et puis avec TLivresTarts, un patchwork d’œuvres en tous genres

#Octobrerose, 🎬 de fin de l’édition 2020 💓
#Octobrerose, 🎬 de fin de l’édition 2020 💓
#Octobrerose, 🎬 de fin de l’édition 2020 💓
#Octobrerose, 🎬 de fin de l’édition 2020 💓
#Octobrerose, 🎬 de fin de l’édition 2020 💓

Jour 1 🎨 #Vasedefleurs de Francis Picabia

 

Jour 2 🎨 #30ansoulavieenrose de Raoul Dufy  1931

@mam

 

Jour 3 🎨 #ladanse de Henri Matisse  1931-1933

@mam

 

Jour 4 ✏️ #lavalsedesdossiers de leocadie_illustration 2020

 

Jour 5 🎨 #Femmeasatoilette de Gustave Caillebotte 1873

 

Jour 6 🎨 #AmaryllisinVase de David Hockney 1984

Copyright David Hockney

 

Jour 7 🎨 #Lapromenade de Marc Chagall 1917

 

Jour 8 🎨 #Equilibre de Jade Rivera 2017

 

Jour 9 📷 Autoportrait d’une photographe confinée - 21 de Astrid Di Crollalanza 2020

 

Jour 10 🎨 Le soldat rose de BoteroPop 2019

 

Jour 11 🎶 Le gardien de nuit de Francis CABREL extrait du conte musical Le soldat rose

 

Jour 12 🎨 Après le bain de Joaquín Sorolla 1916

 

Jour 13 🖐 La Toilette de Niki de Saint-Phalle 1978

Photo: Valérie Maillard

 

Jour 14 📷 La Havane, Calle Amistad, de Stéphane Couturier 2005

 

Jour 15 🎨 Bouquet de fleurs roses de Nathalie-Audrey Dubois 2019

 

Jour 16 🎨 Lovers in pink de Marc,

Marc Chagall 1916

 

Jour 17 🎨 Féminité de Diane De La Roque, 2018

 

Jour 18 🎶 La vie en rose d’Edith Piaf 1947

C’est ma #chansondudimanche

 

Jour 19 🖐 Une Dame rose au balcon de Laure Duquesne, 2020

 

Jour 20 🎨 The dancer de Gustav Klimt 1918

 

Jour 21 🎨 Invitation aux Folies Angevines par Virus, 2020

 

Jour 22 🎨 Danseuses de Marie Laurencin 1939-1940

Musée d’art moderne de Paris

 

Jour 23 🎨 Fun trip de Marie Deligny, 2020

 

Jour 24 🤚 L’été prochain de Carole Feuerman 2016

 

Jour 25 🎶 I m African de Calypso Rose 2016

 

Jour 26 🎨 Yaye de Lemilo et Silas 2020

 

Jour 27 🎨 The beginning de Natalia Rak  2017

 

Jour 28 📔 Malgré tout de Jordi Lafebre chez @dargaud 

 

Jour 29 Scarabée d’Alix De Bourmont 2020

 

Jour 30 Naranjas de Fernando Botero 2000

 

Jour 31 🎶 Qui de nous deux de Mathieu Chedid
 

 

Un immense MERCI à Dina et Alexandra pour leur relais dans la diffusion.

Vivement l’année prochaine 💓

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2020-10-30T12:35:00+01:00

J'ai cru qu'ils enlevaient toute trace de toi de Yoan SMADJA

Publié par Tlivres
J'ai cru qu'ils enlevaient toute trace de toi de Yoan SMADJA

Belfond

Ma #vendredilecture, c'est le premier roman de Yoan SMADJA, "J'ai cru qu'ils enlevaient toute trace de toi", je l'ai découvert grâce aux fées des 68 Premières fois.

Il est tout juste lauréat du Prix littéraire Lucien CAROUBI, un prix qui honore les ouvrages en faveur de la paix et de la tolérance entre les hommes, avouons qu'on en a bien besoin, non ?

Sacha Alona est grand reporter. Elle, qui depuis sa plus tendre enfance, croque la vie à pleines dents, avide de découvertes à réaliser, d'expériences à faire et de défis à relever, elle prend l'avion au printemps 1994 à destination du Cap en Afrique du Sud, missionnée qu'elle est pour relater les premières élections démocratiques post-apartheid. Très vite, avec Benjamin, photographe, Sacha flaire une filière d'armes. Elle découvre des machettes en quantités effroyables et qui, coupantes des deux côtés, ne peuvent répondre aux besoins de seuls agriculteurs africains. Elles sont faites pour tuer. Sans l'accord de son employeur, elle s'envole pour le Rwanda où la guident ses pas... elle ne sait pas encore qu'en quelques mois sa vie basculera. Elle croisera effectivement sur son chemin, un homme, Daniel Kobeysi, chirurgien obstétrique, originaire de Kigali, qui partage sa vie entre sa famille de Butare et les patientes des montagnes des Virunga. Sacha et Benjamin lui demanderont de les mener jusqu'à Paul Kagamé, alors vice-président, pour l'interviewer. Mais très vite, leur destin est percuté par les événements, l'attentat perpétré contre l’avion du Président Habyarimana, l'assassinat du Premier Ministre du Rwanda  avec 10 casques bleus belges chargés de sa protection. Daniel est torturé par l'angoisse de ne pas retrouver sa femme, Rose, et son fils, Joseph, menacés du génocide Tutsi qui sévit dans tout le pays. Tous trois vont partager des moments d'intimité alors même que l'humanité sombre dans l'ignominie.

Ce premier roman est un hymne à l'écriture. Yoan SMADJA va, dans un procédé ingénieux, se faire côtoyer deux plumes, celle de Sacha qui relate les faits pour son métier et celle de Rose, cette femme qui, tout au long des événements, va écrire à son mari, Daniel, pour lui conter sa vie et celle de son fils au cas où... Le jeu de l'alternance entre chapitres et correspondances vont rythmer un brillant roman.

Yoan SMADJA signe assurément un premier roman bouleversant, de ceux qui vous font mesurer la fragilité de l'humanité, dans ce qu'elle a de plus noir, et de plus lumineux aussi. Je ne saurais dire si les larmes qui ont coulé de mes yeux étaient de chagrin, ou de plaisir.

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2020-10-23T15:54:00+02:00

Ce qu’il faut de nuit de Laurent PETITMANGIN

Publié par Tlivres
Ce qu’il faut de nuit de Laurent PETITMANGIN

Ma #vendredilecture c’est le premier roman de Laurent PETITMANGIN publié chez La Manufacture des Livres, "Ce qu'il faut de nuit", tout juste lauréat du Prix Littéraire Georges Brassens, une lecture coup de poing de cette rentrée littéraire de septembre 2020 !

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2020-10-06T11:35:00+02:00

Retour en images et en musique sur les découvertes du mois de septembre...

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2020-05-06T17:41:45+02:00

Une fille sans histoire de Constance RIVIERE

Publié par Tlivres
Une fille sans histoire de Constance RIVIERE

Immense joie de découvrir « Une fille sans histoire » de Constance Rivière, publié aux Editions Stock, repéré par les fées des 68 premières fois, en lice pour le Goncourt du Premier roman 2020. Résultat le 11 mai prochain 🍀


http://tlivrestarts.over-blog.com/2019/10/une-fille-sans-histoire-de-constance-riviere-7.html

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2020-04-11T10:45:57+02:00

Retour en images et en musique sur un mois de mars... particulier !

Publié par Tlivres

Retour en images et en musique - source "Walk in The Park" by audionautix.com - svp sur un mois de mars... particulier !

Depuis « Fou rire » de Mauricette Toussaint jusqu’à « La fille du train » en passant par #marsauféminin jusqu’à #RestezChezVous, jamais le le roman de Laurent Mauvignier « Continuer » n’a autant pris son sens.

Portez-vous bien Trèfle à quatre feuilles

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2020-04-11T09:20:23+02:00

Profanes de Jeanne BENAMEUR

Publié par Tlivres
Profanes de Jeanne BENAMEUR

Parce que c’est le printemps et que nous sommes en confinement, mais que les idées continuent de germer pour se « culturer », le blog s’associe avec Page des Libraires, chaque jour du mois d’avril, pour mettre au devant de la scène un livre et une librairie.

Au hasard, chaque jour, sur les étagères de ma bibliothèque, je prendrai un numéro du magazine de ces dernières années (j’en ai toute une collection !) dans lequel je choisirai un livre que j’ai aimé.

Après 

le numéro 181 avec "Charlotte" de David FOENKINOS

le numéro 190 et « Chanson douce » de Leïla SLIMANI

le numéro 194 et « Nous aurons été vivants » de Laurence TARDIEU

le numéro 184 avec « Le coeur à l’aiguille » de Claire GONDOR

le numéro 197 avec "La Symphonie du Nouveau Monde" de Lenka HORNAKOVA CIVADE 

le numéro 188 et « Bénédict » de Cécile LADJALI,

le numéro 195 et « Juste après la vague » de Sandrine COLLETTE, 

le numéro 182 et "Collaboration horizontale" de NAVIE et Carole MAUREL,

le numéro 191 et "Chien-loup" de Serge JONCOUR,

le numéro 169 avec "Bérénice 34-44" d'Isabelle STIBBE,

place aujourd'hui au numéro 166 et "Profanes" de Jeanne BENAMEUR, un roman publié chez Actes Sud et présenté par Jean-Marc BRUNIER de la Librairie Le Cadran lunaire de Mâcon, l'occasion d'un petit clin d'oeil aux librairies La Libreria de Paris, Tirloy de Lilles, Papyrus de La Ferté-Bernard et La Préface de Colomiers.

Plus que "Profanes", ce sont tous les romans de Jeanne BENAMEUR qui sont, pour moi, des coups de coeur.

Jeanne BENAMEUR, c'est une écrivaine dont je suis devenue au fil du temps une inconditionnelle. Sa plume a une telle sensibilité, elle est empreinte d'un tel humanisme, qu'elle nous donne l'élan nécessaire pour affronter les épreuves de la vie.

Jeanne BENAMEUR, c'est l'une de mes 30 héroïnes, ces 30 femmes mises à l'honneur dans le cadre de l'opération #marsauféminin 2020, un portrait de femme haut en couleur !

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2020-04-10T16:22:57+02:00

Bérénice 34-44 d'Isabelle STIBBE

Publié par Tlivres
Bérénice 34-44 d'Isabelle STIBBE

Parce que c’est le printemps et que nous sommes en confinement, mais que les idées continuent de germer pour se « culturer », le blog s’associe avec Page des Libraires, chaque jour du mois d’avril, pour mettre au devant de la scène un livre et une librairie.

Au hasard, chaque jour, sur les étagères de ma bibliothèque, je prendrai un numéro du magazine de ces dernières années (j’en ai toute une collection !) dans lequel je choisirai un livre que j’ai aimé.

Après 

le numéro 181 avec "Charlotte" de David FOENKINOS

le numéro 190 et « Chanson douce » de Leïla SLIMANI

le numéro 194 et « Nous aurons été vivants » de Laurence TARDIEU

le numéro 184 avec « Le coeur à l’aiguille » de Claire GONDOR

le numéro 197 avec "La Symphonie du Nouveau Monde" de Lenka HORNAKOVA CIVADE 

le numéro 188 et « Bénédict » de Cécile LADJALI,

le numéro 195 et « Juste après la vague » de Sandrine COLLETTE, 

le numéro 182 et "Collaboration horizontale" de NAVIE et Carole MAUREL,

le numéro 191 et "Chien-loup" de Serge JONCOUR,

place au numéro 169 avec "Bérénice 34-44" d'Isabelle STIBBE, un énorme coup de coeur publié chez Serge SAFRAN éditeur, présenté par Margaux HENIN de la Librairie Passion Culture d'Orléans, l'occasion d'un petit clin d'oeil aux librairies Privat de Toulouse, Graffiti de Tarbes, Prado Paradis de Marseille et Tome 19 de Revel.

C'est l'univers de la Comédie Française, cette grande institution du théâtre parisien, qui nous est livré par une spécialiste de la "maison" : Isabelle STIBBE y a travaillé en tant que responsable des publications. Sa plume est remarquable, ce qui ne gâche rien, je vous l'accorde.

C'est un très beau livre en hommage aux grands noms du théâtre : Louis JOUVET, Jacques COPEAU, Jean YONNEL, Jean-Louis BARRAULT, Robert MANUEL...

C'est enfin un roman historique qui retrace une sombre page de notre Histoire : la montée du nazisme, la chasse aux juifs... Vous savez qu'il n'y a pas de hasard dans la vie, ce roman résonne avec ma lecture en cours : "De notre côté du ciel" de Hans MEYER ZU DUTTINGDORF.

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2020-04-09T09:01:47+02:00

Chien-loup de Serge JONCOUR

Publié par Tlivres
 Chien-loup de Serge JONCOUR

Parce que c’est le printemps et que nous sommes en confinement, mais que les idées continuent de germer pour se « culturer », le blog s’associe avec Page des Libraires, chaque jour du mois d’avril, pour mettre au devant de la scène un livre et une librairie.

Au hasard, chaque jour, sur les étagères de ma bibliothèque, je prendrai un numéro du magazine de ces dernières années (j’en ai toute une collection !) dans lequel je choisirai un livre que j’ai aimé.

Après 

le numéro 181 avec "Charlotte" de David FOENKINOS

le numéro 190 et « Chanson douce » de Leïla SLIMANI

le numéro 194 et « Nous aurons été vivants » de Laurence TARDIEU

le numéro 184 avec « Le coeur à l’aiguille » de Claire GONDOR

le numéro 197 avec "La Symphonie du Nouveau Monde" de Lenka HORNAKOVA CIVADE 

le numéro 188 et « Bénédict » de Cécile LADJALI,

le numéro 195 et « Juste après la vague » de Sandrine COLLETTE, 

le numéro 182 et "Collaboration horizontale" de NAVIE et Carole MAUREL,

place au numéro 191 et "Chien-loup" de Serge JONCOUR, un énorme coup de coeur publié chez Flammarion et récemment en version poche chez J'ai lu, présenté par Rachel BESNARD-JAVAUDIN de la Librairie Gargan'mots de Betton, l'occasion d'un petit clin d'oeil aux libriaires La Maison du Livre de Rodez, Le Matoulu de Melle, Les Mille paresses de Carqueiranne et la Maison de la Presse de Hagueneau.

La plume de Serge JONCOUR, j'en suis une inconditionnelle, vous le savez si vous me suivez régulièrement !  Il y a eu « Repose-toi sur moi », « L’amour sans le faire », « Vu », « U.V. »...

Ce roman, je l'ai profondément aimé pour l'hymne au règne animal et, plus globalement, à ce que nous procure la nature. L’épopée, éminemment romanesque, dote ce livre historique, moderne, familial, psychologique, environnemental… d’une richesse incommensurable. Ne passez pas à côté !

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2020-04-07T07:16:58+02:00

Juste après la vague de Sandrine COLLETTE

Publié par Tlivres
Juste après la vague de Sandrine COLLETTE

Parce que c’est le printemps et que nous sommes en confinement, mais que les idées continuent de germer pour se « culturer », le blog s’associe avec Page des Libraires, chaque jour du mois d’avril, pour mettre au devant de la scène un livre et une librairie.

Au hasard, chaque jour, sur les étagères de ma bibliothèque, je prendrai un numéro du magazine de ces dernières années (j’en ai toute une collection !) dans lequel je  choisirai un livre que j’ai aimé.

Après 

le numéro 181 avec "Charlotte" de David FOENKINOS

le numéro 190 et « Chanson douce » de Leïla SLIMANI

le numéro 194 et « Nous aurons été vivants » de Laurence TARDIEU

le numéro 184 avec « Le coeur à l’aiguille » de Claire GONDOR

le numéro 197 avec "La Symphonie du Nouveau Monde" de Lenka HORNAKOVA CIVADE 

le numéro 188 et « Bénédict » de Cécile LADJALI,

place au numéro 195 et « Juste après la vague » de Sandrine COLLETTE, roman publié aux éditions Denoël et Le Livre de Poche plus récemment, et présenté par Alice RÜEST de la Librairie Vivement dimanche de Lyon, l'occasion d'un petit clin d'oeil aux Librairies Au moulin des lettres d'Epinal, L'Antidote de Parthenay, et Mots en marge de La Garenne-Colombes.

Sandrine COLLETTE est une grande Dame du roman noir. Vous avez peut être lu :

« Six fourmis blanches »

« Un vent de cendres »

« Et toujours les forêts », sorti en janvier dernier chez Grasset. 

Chaque fois, Sandrine COLLETTE plante un décor qui pourrait être le vôtre, histoire de lui donner un petit côté universel, et puis, il y a l'effet de rupture, une cataclysme. C'est là que commence réellement le livre avec un enchaînement de catastrophes. Quand vous croirez pouvoir vous raccrocher à une branche, aussi fragile soit-elle, elle cédera sous votre poids.

Sandrine COLLETTE que j'ai eue l'immense chance, et de rencontrer, et d'interviewer, est pleine d'humour et de fantaisie. Je vous invite à lire cet entretien qui vous donnera une petite idée de sa personnalité, tout à fait exceptionnelle.

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2020-04-06T16:56:57+02:00

Bénédict de Cécile LADJALI

Publié par Tlivres
Bénédict de Cécile LADJALI

Parce que c’est le printemps et que nous sommes en confinement, mais que les idées continuent de germer pour se « culturer », le blog s’associe avec Page des Libraires, chaque jour du mois d’avril, pour mettre au devant de la scène un livre et une librairie.

Au hasard, chaque jour, sur les étagères de ma bibliothèque, je prendrai un numéro du magazine de ces dernières années (j’en ai toute une collection !) dans lequel je  choisirai un livre que j’ai aimé.

Après 

le numéro 181 avec "Charlotte" de David FOENKINOS,

le numéro 190 et « Chanson douce » de Leïla SLIMANI,

le numéro 194 et « Nous aurons été vivants » de Laurence TARDIEU,

le numéro 184 avec « Le coeur à l’aiguille » de Claire GONDOR

le numéro 197 avec "La Symphonie du Nouveau Monde" de Lenka HORNAKOVA CIVADE

place au numéro 188 et « Bénédict » de Cécile LADJALI, roman publié chez Actes Sud et présenté par Lisa POMMEREUL de la Librairie Doucet du Mans (dont je salue toute l’équipe), l’occasion d’un petit clin d’œil aussi aux librairies L’échappée belle de Sète, L’Arbre à mots de Rochefort et Graffiti de Castres.

Cécile LADJALI, c’est une grande Dame de la littérature que j’ai eue la chance de rencontrer à la Librairie Richer et à qui j’ai consacré une chronique dans le cadre de l’opération #marsauféminin.

J’ai lu d’elle « Bénédict », un très grand roman sur la  quête d'identité des travestis et leur combat pour la liberté. Et puis, il y a eu « Illettré », un voyage au pays des mots. 

Chaque fois, j’ai été subjuguée par la beauté de la langue, sa profondeur, sa puissance, son impact aussi. Il n’y a pas de mot innocent et Cécile LADJALI nous le fait toucher du doigt dans ses œuvres.

J'attends maintenant avec impatience de lire son tout dernier roman, "La fille de personne". Vous l'avez lu ?

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2020-04-05T06:00:00+02:00

La Symphonie du Nouveau Monde de Lenka HORNAKOVA-CIVADE

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La Symphonie du Nouveau Monde de Lenka HORNAKOVA-CIVADE

Parce que c’est le printemps et que nous sommes en confinement, mais que les idées continuent de germer pour se « culturer », le blog s’associe avec Page des Libraires, chaque jour du mois d’avril, pour mettre au devant de la scène un livre et une librairie.

Au hasard, chaque jour, sur les étagères de ma bibliothèque, je prendrai un numéro du magazine de ces dernières années (j’en ai toute une collection !) dans lequel je  choisirai un livre que j’ai aimé.

Après 

le numéro 181 avec "Charlotte" de David FOENKINOS,

le numéro 190 et « Chanson douce » de Leïla SLIMANI,

le numéro 194 et « Nous aurons été vivants » de Laurence TARDIEU,

le numéro 184 avec « Le coeur à l’aiguille » de Claire GONDOR

place au numéro 197 et "La Symphonie du Nouveau Monde" de Lenka HORNAKOVA CIVADE, énorme coup de ❤️ pour ce roman, dont je vous livre les premières lignes, publié chez Alma éditeur, présenté par Lyse MENANTEAU de la Librairie Le Matoulu de Mellel'occasion d'un petit clin d'oeil aussi aux librairies L'Arbre à mots de Rochefort, Le Pain des Rêves de Saint-Brieuc, Soie d'Uzès et la Librairie de Paris de Saint-Etienne.

Lenka HORNAKOVA CIVADE, j'ai découvert sa plume avec son premier roman, "Giboulées de soleil", repéré par les fées des 68 Premières fois, l’occasion d’un petit clin d’œil à toute l’équipe. Et puis, il y a eu "Une verrière sous le ciel". Trois romans, trois coups de ❤️, c'est dire si je suis devenue au fil du temps une inconditionnelle de son art.

Si vous ne la connaissez pas encore, dites-vous qu'il n'est jamais trop tard !

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2020-04-04T06:00:00+02:00

Le cœur à l’aiguille de Claire GONDOR

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Le cœur à l’aiguille de Claire GONDOR

Parce que c’est le printemps et que nous sommes en confinement, mais que les idées continuent de germer pour se « culturer », le blog s’associe avec Page des Libraires, chaque jour du mois d’avril, pour mettre au devant de la scène un livre et une librairie.

Au hasard, chaque jour, sur les étagères de ma bibliothèque, je prendrai un numéro du magazine de ces dernières années (j’en ai toute une collection !) dans lequel je  choisirai un livre que j’ai aimé.

Après 

le numéro 181 avec "Charlotte" de David FOENKINOS,

le numéro 190 et « Chanson douce » de Leïla SLIMANI,

le numéro 194 et « Nous aurons été vivants » de Laurence TARDIEU,

place au numéro 184 avec « Le coeur à l’aiguille » de Claire GONDOR, énorme coup de ❤️ pour ce roman publié aux éditions Buchet Chastel, présenté par Frédérique FRANCO de la Librairie Le goût des mots de Mortagne-au-Perche, l'occasion d'un petit clin d'oeil aussi à la Librairie des Cyclades de Saint-Cloud.

Claire GONDOR, je laisse découverte avec ce premier roman repéré par les fées des 68 Premières fois, l’occasion d’un petit clin d’œil à toute l’équipe.

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2020-04-03T06:00:00+02:00

Nous aurons été vivants de Laurence TARDIEU

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Nous aurons été vivants de Laurence TARDIEU

Parce que c’est le printemps et que nous sommes en confinement, mais que les idées continuent de germer pour se « culturer », le blog s’associe avec Page des Libraires, chaque jour du mois d’avril, pour mettre au devant de la scène un livre et une librairie.

Au hasard, chaque jour, sur les étagères de ma bibliothèque, je prendrai un numéro du magazine de ces dernières années (j’en ai toute une collection !) dans lequel je  choisirai un livre que j’ai aimé.

Après

le numéro 181 avec "Charlotte" de David FOENKINOS,

le numéro 190 et « Chanson douce » de Leïla SLIMANI,

place au numéro 194 et « Nous aurons été vivants » de Laurence TARDIEU, énorme coup de ❤️ pour ce roman publié aux éditions Stock, présenté par Betty TROUILLET de la Librairie Cultura de Carcassonne, l'occasion d'un petit clin d'oeil aussi à la Librairie des Canuts de Lyon et Le Roi livre de Paris.

Laurence TARDIEU a une plume d’une extrême sensibilité. Je vous invite à retrouver son portrait rédigé dans le cadre de l’opération #marsauféminin.

Peut-être avez-vous lu « À la fin, le silence »... qui m’avait d’ailleurs été conseillé par Antigone, une blogueuse que je suis depuis une éternité, qu’elle en soit ici remerciée 😉

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2020-04-02T11:40:00+02:00

Chanson douce de Leïla SLIMANI

Publié par Tlivres
Chanson douce de Leïla SLIMANI

Parce que c’est le printemps et que nous sommes en confinement, mais que les idées continuent de germer pour se « culturer », le blog s’associe avec Page des Libraires, chaque jour du mois d’avril, pour mettre au devant de la scène un livre et une librairie.

Au hasard, chaque jour, sur les étagères de ma bibliothèque, je prendrai un numéro du magazine de ces dernières années (j’en ai toute une collection !) dans lequel je  choisirai un livre que j’ai aimé.

Après le numéro 181 avec "Charlotte" de David FOENKINOS,

pour le J2, c'est le numéro 190 et « Chanson douce » de Leïla SLIMANI, roman publié chez Gallimard et Folio en version poche, Prix Goncourt 2016 et #GrandPrixdeslectricesElle 2017, présenté par Linda POMMEREUL de la Librairie Doucet du Mans (je salue chaleureusement toute l’équipe), l'occasion d'un petit clin d'oeil aussi aux Librairie L’Amandier de Puteaux, Librairie Maison du livre de Rodez, Librairie Sauramps en Cévennes et Librairie Le Passeur de L’Isles de L’Isles-sur-La-Sorgue.

Leïla SLIMANI, je l’apprécie beaucoup, c’est pour moi une grande Dame de la littérature mais aussi une voix du XXIème siècle qui compte beaucoup, elle m’éclaire de ses visions. Je vous invite à retrouver son portrait rédigé dans le cadre de l’opération #marsauféminin. Ce n'est finalement pas un hasard si elle apparaît dans ce nouvelle défi du mois d'avril !

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