Le bal des 68 Premières fois se poursuit.
Après :
"Aux amours" de Loïc DEMEY
"Les nuits bleues" de Anne-Fleur MURTON
"Les maisons vides" de Laurine THIZY,
"Furies" de Julie RIOCCO,
"Saint Jacques" de Bénédicte BELPOIS
"Les confluents" de Anne-Lise AVRIL
"Le parfum des cendres" de Marie MANGEZ
"Jour bleu" de Aurélia RINGARD
"Debout dans l'eau" de Zoé DERLEYN
place au premier roman de Isabelle BOISSARD : "La fille que ma mère imaginait" chez Les Avrils.
J’aimerais que le corps soit une chose extérieure que l’on puisse déposer devant soi. On pourrait passer son corps à la machine, le faire sécher, le recoudre, et pourquoi pas une fois trop usé, le jeter. Il suffirait alors de s’en acheter un nouveau. Neuf ou bien d’occasion, si on est écolo. Puisque tout le monde semble avoir un complexe, je suis convaincue qu’il aurait un marché incroyable pour troquer ou vendre son corps. www.leboncorps.com. P. 33
Le problème n’est pas d’appendre la langue, mais de comprendre toute une conception du monde. Il n’y a pas un filtre, mais de multiples interprétations. P. 71
Une vraie mère courage. De celles qui se surpassent, qui se dépassent même. Mais se dépasser, c’est aussi prendre le risque de passer à côté de soi. P. 134
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