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Articles avec #mes citations catégorie

2020-03-26T18:00:00+01:00

Où bat le cœur du monde de Philippe HAYAT

Publié par Tlivres
Où bat le cœur du monde de Philippe HAYAT

Ma #citationdujeudi est extraite d’un roman de la #RL2019, "Où bat le cœur du monde" de Philippe HAYAT, une épopée romanesque tout à fait remarquable publiée chez Calmann Levy, l’occasion d’un petit clin d’œil à toute l’équipe de la Librairie Richer.

Vous l’aurez compris, il y est question de musique, de son pouvoir de nous prendre par la main et nous porter vers d’autres horizons, ce dont nous avons tous sacrément besoin en cette période de confinement.

Plus particulièrement, c’est du jazz que nous parle Philippe HAYAT. Je ne résiste pas à faire le lien avec Mano DIBANGO, ce jazzman camerounais qui nous a quittés le 24 mars dernier. Augustin TRAPENARD a eu la merveilleuse idée de reprogrammer le podcast de sa dernière interview, un immense moment de bonheur, gardons, nous aussi, notre joie de vivre !

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2020-03-24T07:00:00+01:00

Yonah ou le chant de la mer de Frédéric COUDERC

Publié par Tlivres
Yonah ou le chant de la mer de Frédéric COUDERC

Mon #mardiconseil est le tout dernier roman de Frédéric COUDERC : "Yonah ou le chant de la mer" sorti en librairie le 5 mars dernier. Il est publié aux éditions Héloïse d'ORMESSON, que je remercie chaleureusement pour l'envoi.

Comme j’en ai pris l’habitude maintenant, je vous en propose aujourd’hui les premières lignes, histoire de planter le décor...

"Un vent léger montait de la mer. Des bourrasques tièdes s'enroulaient autour des arbres, caressaient les racines aériennes des ficus, aux cimes les feuilles tremblaient, projetant des ombres sur les façades blanches et arrondies des immeubles Bauhaus. Les oiseaux du crépuscule survolaient le vaste toit-terrasse et ici, la fête commençait. Les Stein comptaient sur la présence d'une centaine d'amis. Une bonne moitié se pressait dans la cage d'escalier au plâtre poli avec incrustation de nacre. Les formes géométriques de la maison blanche, cette fluidité horizontale, les laissaient surgir à l'air libre, les uns après les autres."

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2020-03-20T21:50:01+01:00

Coeur-Naufrage de Delphine BERTHOLON

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Coeur-Naufrage de Delphine BERTHOLON

Ma #citationdujeudi est extraite du roman de Delphine BERTHOLON "Coeur-Naufrage" publié aux éditions Lattès et récemment chez Le livre de poche.

Ce roman, ce fut un énorme coup de coeur.

Mon petit doigt me dit que des rêves, vous en avez, en ce moment, plus que jamais ! Portez vous bien.

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2020-03-12T17:18:07+01:00

L’homme qui n’aimait plus les chats d’Isabelle AUPY

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L’homme qui n’aimait plus les chats d’Isabelle AUPY

Ma #citationdujeudi est extraite d’un petit traité de philosophie parfaitement réussi d’Isabelle AUPY, un premier roman très justement repéré par les fées des 68 Premières fois : "L'homme qui n'aimait plus les chats".

À travers des personnages de fiction vivant sur une île imaginaire, en seulement 122 pages, l’écrivaine réussit un tour de force.

Ce livre édité par les éditions du _Panseur est à offrir sans modération !

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2020-03-06T15:07:47+01:00

Une fille de passage de Cécile Balavoine

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Une fille de passage de Cécile Balavoine

Ma #vendredilecture est le deuxième roman de Cécile Balavoine publié chez Mercure de France, sorti en librairie hier.

La plume de Cécile Balavoine, je l’ai découverte avec « Maestro », un premier roman naturellement repéré par les fées des 68 Premières fois, un coup de cœur me concernant. Pour lire, la chronique, un simple clic suffit : http://tlivrestarts.over-blog.com/2017/04/maestro-de-cecile-balavoine.html

Comme j’en ai pris l’habitude maintenant, je vous en propose aujourd’hui les premières lignes, histoire de vous mettre l’eau à la bouche...

 

« C’était la première fois qu’il m’invitait. J’avais sonné, les bras chargés de soleils. Sa voix s’était aussitôt fait entendre. Il me priait d’entrer. J’avais trouvé la porte entrebâillée et lui assis sur le grand canapé du salon, pliant le New York Times. Il s’était levé, s’était saisi des fleurs, un peu surpris, les avait disposées dans  le vase en cristal qu’il était allé chercher dans un placard de la cuisine, ce que j’avais pu observer puisque ladite cuisine n’avait pas de porte et qu’une large ouverture, sorte de bar, la reliait au salon. Puis, posant le bouquet sur une vieille table en chêne, placée sous un lustre en étain, il m’avait demandé quelle chambre je comptais choisir. »

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2020-03-05T07:00:00+01:00

Les exilés meurent aussi d'amour d'Abnousse SHALMANI

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Les exilés meurent aussi d'amour d'Abnousse SHALMANI

Largement inspiré de son histoire familiale, Abnousse SHALMANI nous livre un roman truculent de son exil alors qu'elle n'était qu'une enfant. Ses parents ont quitté l'Iran au moment de la révolution.

"Les exilés meurent aussi d'amour" relate l'arrivée en France et l'installation dans un appartement parisien, la découverte de la culture française, par la voie notamment de la télévision.

Shirin a élu domicile sous le canapé. Là, personne ne la repère. De là, elle peut entendre et voir tout ce qu'une petite fille de 9 ans ne devrait pas entendre ni voir.

L'écrivaine définit formidablement bien l'exil. C'est ma #citationdujeudi.

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2020-02-27T08:25:58+01:00

La loi de la mer de Davide ENIA

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La loi de la mer de Davide ENIA

Il y a des lectures qui résonnent profondément entre elles. Je pense notamment au premier roman d'Alain GIORGETTI "La nuit nous serons semblables à nous-mêmes" et l'essai de Davide ENIA "La loi de la mer", publié chez Albin Michel, traduit par Françoise BRUN, découvert dans le cadre du Prix des Lectrices Elle 2019.

J'ai choisi d'en extraire ma #citationdujeudi et je vous la livre. A méditer sans modération bien sûr !

 

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2020-02-20T08:03:44+01:00

Journal d'un vampire en pyjama de Mathias MALZIEU

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Journal d'un vampire en pyjama de Mathias MALZIEU

Parce que la lecture du premier roman de Thibault BERARD "Il est juste que les forts soient frappés" m'a profondément rappelé celle de l'essai de Mathieu MALZIEU "Journal d'un vampire en pyjama", j'en extrais ma #citationdujeudi.

Tous deux, confrontés personnellement par la rencontre de la grande faucheuse, se voient inspirés pour écrire et nous livrer des oeuvres d'une force incroyable. Ce sont des hymnes à la vie, à lire tout simplement !

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2020-02-18T07:00:00+01:00

Il est juste que les forts soient frappés de Thibault BERARD

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Il est juste que les forts soient frappés de Thibault BERARD

Mon #mardiconseil c'est le tout dernier roman de Thibault BERARD "Il est juste que les forts soient frappés" publié aux éditions de L'Observatoire.

Énorme coup de cœur de cette rentrée littéraire de janvier 2020.

Je vous en livre aujourd’hui les toutes premières lignes :

 

 « J’imagine que vous serez d’accord : ce que tout le monde veut, dans la vie, c’est laisser une trace, non ? Résister à l’oubli éternel ?

 

Eh bien le scoop, mes amis, le truc pas croyable que je vais vous annoncer ici, dans ces pages et même dès la première ligne, c’est que le but ultime de tout le monde, dans la mort, c’est exactement l’inverse : se faire oublier des vivants. Couper le cordon une bonne fois avant l’avant pour, enfin, accéder à cette absolue félicité, ce repos parfait des sens et de l’esprit dont on nous rebat les oreilles depuis des siècles et des siècles. 

 

Avouez que ça remet les choses en perspective.

 

Moi-même, j’ai mis un moment à comprendre ça et, quand j’ai fini par y arriver, je me suis décidée à en faire quelque chose, histoire que ça vous rentre dans le crâne, pour « le jour où » (parce que, vous le savez, ou alors il serait temps, ce sera votre tour à un moment ou un autre).

 

Décidée avec un « e », ça n’a pas échappé aux premiers de la classe, parce que je suis une fille, enfin une femme. J’étais une femme quand je suis morte – une jeune femme, 42 ans, ça vous donne déjà une idée de l’ampleur du drame à venir. »

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2020-02-13T08:31:54+01:00

Opus 77 d'Alexis RAGOUGNEAU

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Opus 77 d'Alexis RAGOUGNEAU

Ma #citationdujeudi est extraite d'un très beau roman de la #RL2019 de septembre : "Opus 77" d'Alexis RAGOUGNEAU publié aux éditions Viviane HAMY.

Dans ce roman,  j'ai été fascinée par la puissance de la musique, le pouvoir d'enivrement, la jouissance et l'abandon de soi qu'elle procure.

Je me réjouis de voir "Opus 77" dans la sélection du Prix du roman Cezam 2020 en lice avec : 

Né d'aucune femme de Franck BOUYSSE, lauréat du Prix des Lectrices Elle 2019

La petite conformiste d'Ingrid SEYMAN

Vigile d'Hyam ZAYTOUN

 

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2020-02-06T18:45:34+01:00

Vaincre à Rome de Sylvain COHER

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Vaincre à Rome de Sylvain COHER

Ma #citationdujeudi est extraite d'un roman de la rentrée de septembre 2019 qui continue de m'habiter. Il s'agit de "Vaincre à Rome" de Sylvain COHER chez Actes Sud

Imaginez... sur la ligne de départ : 69 coureurs de 35 nationalités. 11 sont africains et vous en faites partie. Vous êtes éthiopien. 11, c’est aussi le numéro de votre dossard ! Vous faites 55 kilos. Vous êtes chrétien orthodoxe (ça vous semble un détail mais, on ne sait jamais, la foi et le spiritualisme pourraient vous être utiles !). Vous vous apprêtez à vous lancer dans une performance sportive, mais pas que. Au fil des 42,195 kilomètres (c’est long !), vous allez porter les couleurs de tout un peuple assailli 25 ans plus tôt par les troupes de Mussolini lancées contre le fléau noir.

Ce roman, juste prodigieux, assure la mémoire du sacre d'Abebe BIKILA, ce marathonien qui a restauré l’honneur des siens en passant le premier sous l’Arc Constantin, le symbole des ambitions coloniales du fasciste italien, lors des Jeux Olympiques de 1960.

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2020-02-04T19:36:53+01:00

Disparaître de Mathieu MENEGAUX

Publié par Tlivres
Disparaître de Mathieu MENEGAUX

Mon #mardiconseil, c'est le tout dernier roman de Mathieu MENEGAUX : "Disparaître" publié aux éditions Grasset.

Mathieu MENEGAUX, c'est l'auteur de  « Je me suis tue » « Un fils parfait » « Est-ce ainsi que les hommes jugent ? ».

Si vous ne le connaissez pas encore, c'est le moment de vous intéresser à cette plume tout à fait singulière. Pour les autres, je suppose que vous l'attendez avec impatience et vous avez bien raison.

Je vous livre donc aujourd'hui les premières lignes de "Disparaître" :

"Paris - Les Abbesses

Un silence brutal vient de s'abattre sur les Abbesses. Quelques instants auparavant, la rue des Trois-Frères grouillait de monde, des hommes et des femmes riaient, s'apostrophaient, trinquaient, s'embrassaient, fumaient et parlaient fort. Ils occupaient tout l'espace des trottoirs étroits, traînant parfois sur la chaussée, au risque de se faire klaxonner par les automobilistes qui osent affronter les coteaux de la butte Montmartre un soir de juin. En une seconde toute cette foule s'est figée. Les joyeux drilles se sont statufiés. Le cri les a glacés. Tous ont tourné la tête, cherché à localiser d'où il provenait. Il retentissait encore, alors qu'il n'avait duré que quelques secondes. Un hurlement de femme, primitif et inoubliable. Certains, rares, ont vu le corps chuter. La plupart n'en ont pas eu le temps. Mais, au silence qui a suivi le choc, tous ont compris qu'elle était morte."

Vous voilà captivés par l'intrigue de ce tout nouveau roman noir ? Objectif atteint alors. Maintenant, à vous de jouer, je suis persuadée que votre librairie préférée en a encore quelques exemplaires exposés !

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2020-01-30T08:10:03+01:00

Murène de Valentine GOBY

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Murène de Valentine GOBY

Ma #citationdujeudi est extraite de l'un de mes derniers coups de coeur, je veux parler de Murène de Valentine GOBY, un pur bijou.

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2020-01-28T19:53:10+01:00

Le Ghetto intérieur de Santiago H. AMIGORENA

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Photo France Inter

Photo France Inter

Mon #mardiconseil, c'est le tout dernier roman de Santiago H. AMIGORENA : "Le Ghetto intérieur" publié aux éditions P.O.L..

Je vous en livre aujourd'hui les premières lignes :

"Le 13 septembre 1940, à Buenos Aires, l'après-midi était pluvieuse et la guerre en Europe si loin qu'on pouvait encore se croire en temps de paix. L'avenida de Mayo, cette grande artère bordée d'immeubles Art nouveau qui sépare la Présidence du Congrès, était presque vide ; seuls quelques hommes pressés, quittant leurs bureaux du centre-ville un journal au-dessus de la tête pour conjurer les gouttes, couraient sous la pluie pour attraper un bus ou un taxi et rentrer à la maison. Parmi ces passants furtifs, un homme âgé de trente-huit ans, Vicente Rosenberg, protégé par son chapeau, avançait d'un pas posé mais irréfléchi vers la porte du Tortoni, un café à la mode où l'on pouvait, en ce temps-là, croiser aussi bien Jorge Luis Borges et des gloires du tango que des réfugiés européens comme Ortega y Grasset, Roger Caillois ou Arthur Rubinstein. Vicente était un jeune Juif." 

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2020-01-23T07:00:00+01:00

Juste après la vague de Sandrine COLLETTE

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Juste après la vague de Sandrine COLLETTE

Ma #citationdujeudi est extraite d'un roman noir, le registre de prédilection de Sandrine COLLETTE : "Juste après la vague".

Elle y explorait déjà la dimension de la mère dans un contexte... tout à fait particulier, qui résonne profondément avec celle abordée dans son tout nouveau roman : "Et toujours les Forêts" aux éditions Grasset.

La chronique, c'est pour demain !

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2020-01-21T08:15:41+01:00

Et toujours les Forêts de Sandrine COLLETTE

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Et toujours les Forêts de Sandrine COLLETTE

Mon #mardiconseil, c'est le tout dernier roman de Sandrine COLLETTE : "Et toujours les Forêts" publié chez Lattès. Il fait partie des 5 romans finalistes pour le Prix RTL Lire 2020.

Sandrine COLLETTE, j'ai lu "Juste après la vague", "Six fourmis blanches" et "Un vent de cendres". 

Cette écrivaine s'est spécialisée dans le roman noir, son tout dernier est absolument effroyable.

Je vous en livre aujourd'hui les premières lignes :

"Les vieilles l'avaient dit, elles qui voyaient tout : une vie qui commençait comme ça, ça ne pouvait rien donner de bon.

Les vieilles ignoraient alors à quel point elles avaient raison, et ce que cette petite existence qui s'est mise à pousser là où on n'en voulait pas connaîtrait de malheur et de désastre. Bien au-delà d'elle-même : ce serait le monde qui chavirerait. Mais cela, personne ne le savait encore.

A cet instant, c'était impossible à deviner."

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2020-01-16T07:00:00+01:00

Une joie féroce de Sorj CHALANDON

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Une joie féroce de Sorj CHALANDON

Il y a des romans qui restent très présents dans votre esprit, même quelques mois après leur lecture.

Il en est un qui m'a particulièrement marquée, c'est "Une joie féroce" de Sorj CHALANDON aux éditions Grasset, sorti en septembre dernier.

La force inouïe qui transcende ce livre me laisse à penser que l'Homme a cette capacité à puiser, tout au fond de lui, y compris dans les conditions les plus dramatiques, l'énergie et la vigueur de se rebeller, se battre, se défendre, affronter la réalité qui l'oppresse.

Ce roman vous fait cruellement aimer la vie. Qu'on se le dise !

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2020-01-09T20:55:18+01:00

J’ai cru qu’ils enlevaient toute trace de toi de Yoan SMADJA

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J’ai cru qu’ils enlevaient toute trace de toi de Yoan SMADJA

Ma #citationdujeudi est extraite d'un premier roman découvert avec les 68 Premières fois, l'un de ceux que j'ai le plus aimés de la sélection de la rentrée de septembre 2019 : "J'ai cru qu'ils enlevaient toute trace de toi" de Yoan SMADJA aux éditions Belfond.

Yoan SMADJA signe assurément un roman bouleversant, de ceux qui vous font mesurer la fragilité de l'humanité, dans ce qu'elle a de plus noir, et de plus lumineux aussi.

Je ne saurais dire si mes larmes, qui ont abondamment coulé, étaient de chagrin ou de plaisir...

 

 

 

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2020-01-02T20:39:52+01:00

La conscience de Zeno d'Italo SVEVO

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La conscience de Zeno d'Italo SVEVO

Nouvelle année, nouvelle charte graphique !

Pour la #citationdujeudi, j'ai choisi de me faire accompagner, tout au long de l'année 2020, de Franck GIRARD et sa "Gourmandise", une sculpture qui en dit long sur mon goût pour la littérature !

La littérature,

je l'aime pour les moments d'évasion qu'elle me procure,

je l'aime aussi pour ce qu'elle révèle de l'Histoire, de notre passé.

Et quand vous aurez connaissance de mon premier coup de coeur de l'année (et oui, à J+2, je l'ai déjà !), vous verrez à quel point ce ne sont pas de vains mots !

Alors quelle plus jolie citation que celle d'Italo SVEVO extraite de "La conscience de Zeno" relayée par Gilles MARCHAND dans "Une bouche sans personne" pour témoigner de ce rôle que jouent les livres dans le passage, la transmission et le témoignage de ce qui a pu se dérouler ? Des livres pour concourir au devoir de mémoire, intéressant, non ?

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2019-11-14T22:42:33+01:00

La symphonie du Nouveau Monde de Lenka HORNAKOVA CIVADE

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La symphonie du Nouveau Monde de Lenka HORNAKOVA CIVADE

Ma #citationdujeudi est extraite du tout dernier roman de Lenka HORNAKOVA CIVADE : "La Symphonie du Nouveau Monde" publié chez Alma Editeur.

Avec Lenka, c'est une longue histoire. Il y a eu la découverte des "Giboulées de soleil" avec les 68 Premières fois, et puis "Une verrière sous le ciel" et enfin, "La Symphonie du Nouveau Monde".

3 romans, 3 coups de coeur.

Alors, quand l'équipe des bibliothèques d'Angers m'a proposé de présenter un roman de cette #RL2019, je n'ai pas hésité. Il y avait une place pour Vladimír VOCHOC, dont la mémoire est honorée aujourd'hui avec le mémorial Yad Vashem israélien édifié à Jérusalem, Josefa et sa famille, et puis cette poupée aux yeux de nacre.

Vous aussi, je vous souhaite d'


Ouvrir ce livre, c'est déverrouiller une porte bien cadenassée.

Merci infiniment à toute l'équipe des bibliothèques de m'avoir fait confiance ce soir (un véritable exercice que de présenter à l'oral l'un de ses coups de coeur !) et de m'avoir permis de (re)rencontrer Alexandre SEURAT. L'année 2020 sera ponctuée de quelques surprises mais chut !

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